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Critique de kastelanka


Une tres bonne suite au roman de M.Mitchell. On y voit enfin la peste qu est Scarlett prendre conscience même si tardivement de son amour pour Rhett Butler. Elle tentera tout pour le ramener à elle. Allant s'immerger dans sa famille où il n'hésitera pas a lui faire connaître l humiliation par peur de souffrir lui-même à nouveau. Elle nous fait quitter alors le vieux Sud dévasté suite à la guerre de sécession pour nous emmener à la source de tout. En effet nous quittons l'Amerique pour l'Europe et plus particulièrement l'Irlande dont est issu la famille paternelle de Scarlett. La elle va se libérer et devenir une femme à proprement parler. Elle y abandonnera de nombreux codes sociaux imposés par Mme Hélène sa mère qui tenait beaucoup aux apparences et faisait ainsi taire la nature profonde de ses filles. Scarlett va y découvrir que suite a l'accident de bateau qui fut sa dernière escapade avec Rhett avant de quitter le Sud et rendre visite à la famille de son père ou elle va commencer a avoir le sentiment de ce qu est une famille, il lui reste un cadeau magique de Rhett, elle attend un enfant. La naissance sera difficile et se fera au péril de sa vie. On y découvrira les traditions et superstitions autour de la sorcellerie. Elle accouchera d une petite fille aussi sauvageonne qu elle. Scarlett refuse de lui faire subir les obligations et codes sociaux de son enfance. Mais l enfant est perçue comme une abomination démoniaque suite aux rumeurs autour de sa naissance. le peuple irlandais souhaite attenter à leurs vies mais Rhett remarie et veuf s est rendu compte qu il ne peut vivre sans Scarlett et les retrouve a temps. le roman se clôture sur la réunion familiale de ces être aux âmes indissociables.
Un roman sympathique qui se lit bien et qui fait rêver plus qu autant en emporte le vent ou Scarlett est des plus exaspérante. On s ennuie quand même parfois avec cette société trop huilée de l ancien Sud ou paraître est le plus important. l'artificiel ne pouvait subsister
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