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Critique de Voltaire


J'ai lu plus de 120 livres depuis Shantaram et pourtant, il n'est jamais complètement sorti de ma mémoire. Quant aux ouvrages parvenant à sa hauteur, sur ladite centaine, ils se comptent sur les doigts d'une main. Ce préambule explique à quel point ce roman fut vraiment ma révélation de 2009, roman dont, selon la formule consacrée (et je vous l'accorde, fort éculée), "je ne suis pas sortie indemne" !

Je l'avais pourtant entamé comme bien souvent, c'est-à-dire dans une confortable ignorance de son auteur comme de sa réception critique, si bien que l'on ne peut me soupçonner d'avoir été influencée par autre chose que le talent de l'écrivain et mes propres émotions.

La difficulté est maintenant de parvenir à transcrire sans trahir : donner aux autres envie de lire ce livre, mais sans trop en dire et ne pas me perdre non plus en dithyrambes, sous peine de décevoir les futurs lecteurs, qui s'en seraient fait une trop haute opinion. Je dois également admettre qu'il est nettement plus facile de critiquer (voire d'accabler !) un ouvrage que l'on a détesté, plutôt que d'encenser celui que l'on a adoré...

Tout ceci étant posé, je me lance : roman autobiographique (je reviendrai sur cette appellation), mais aussi roman-fleuve (plus de 900 pages), roman protéiforme, roman picaresque, Shantaram est tellement foisonnant que l'esquisse d'un résumé ne peut lui rendre justice. Disons simplement que le héros, australien, arrive en Inde, à Mumbai (Bombay), après s'être évadé de prison. Tombé sous le charme (voire l'emprise) de cette ville grouillante et tentaculaire, il va y vivre dix ans, se recréant un monde et une famille à travers de nombreuses péripéties et aventures.

... la suite sur mon blog !
Lien : http://lafautearousseau.over..
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