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Critique de Leslecturesdadrienne
Dubitative puis bouleversée
Il y a 61 ans (seulement) le mur de la honte était bâti en une nuit.
61 ans ... c'était hier ...
Bien qu'ayant certains doutes dans la première moitié du livre, j'avoue l'avoir fini bouleversée et complètement retournée. (Même plusieurs jours après)
Je trouve que la première moitié semble trop facile ... ce trou de lapin connu seulement par nos soeurs... et ces allers et retours de Berlin Ouest à Berlin Est aussi faciles que d'enjamber une fenêtre ... j'avoue que cette "facilité" ma laissé quelque peu dubitative ...
Mais, n'avons nous jamais entendu des histoires d'évasions tellement simples qu'elles laissent tout le monde sans voix ?
J'ai fini par accepter ce fait. Après tout pourquoi pas, je laisse le bénéfice au doute, surtout "que" en 1963.
Mais ce livre n'est pas que cette facilité. Ce livre c'est aussi des histoires de familles déchirées du jour au lendemain par ce mur. Mais aussi toutes ces vies détruites, ces morts inutiles, ces actes de bravoure, ces emprisonnement arbitraires, cette suspicion constante. le remplacement de la peste nazie par le choléra stasi.
Et au milieu de cette horreur, il y a la beauté, même fanée, qui retrouve un peu de couleur grâce à l'amour.
Sincèrement, même si j'étais sur la retenue, je n'ai pas pu résister contre mes propres sentiments envers les personnages. Je me suis mise à les aimer (vraiment), les soutenir, à avoir peur avec et pour eux. Car derrière ces personnes fictives se cachent des vraies victimes.
L'hyper humanisation des personnages est justement dosée. Aucun cliché juste une écriture sobre, fluide et touchante. le suspens qui va en croissant ne peux que nous faire tourner les pages.
En conclusion, un roman fictif sur des bases historiques réelles, qui ne peut que nous toucher en plein coeur. Les personnages vont me hanter un certain temps.
33 ans seulement depuis la chute de ce mur de la honte. Je l'ai vécu et j'en garde des souvenirs.
Pour que plus jamais çà
Il y a 61 ans (seulement) le mur de la honte était bâti en une nuit.
61 ans ... c'était hier ...
Bien qu'ayant certains doutes dans la première moitié du livre, j'avoue l'avoir fini bouleversée et complètement retournée. (Même plusieurs jours après)
Je trouve que la première moitié semble trop facile ... ce trou de lapin connu seulement par nos soeurs... et ces allers et retours de Berlin Ouest à Berlin Est aussi faciles que d'enjamber une fenêtre ... j'avoue que cette "facilité" ma laissé quelque peu dubitative ...
Mais, n'avons nous jamais entendu des histoires d'évasions tellement simples qu'elles laissent tout le monde sans voix ?
J'ai fini par accepter ce fait. Après tout pourquoi pas, je laisse le bénéfice au doute, surtout "que" en 1963.
Mais ce livre n'est pas que cette facilité. Ce livre c'est aussi des histoires de familles déchirées du jour au lendemain par ce mur. Mais aussi toutes ces vies détruites, ces morts inutiles, ces actes de bravoure, ces emprisonnement arbitraires, cette suspicion constante. le remplacement de la peste nazie par le choléra stasi.
Et au milieu de cette horreur, il y a la beauté, même fanée, qui retrouve un peu de couleur grâce à l'amour.
Sincèrement, même si j'étais sur la retenue, je n'ai pas pu résister contre mes propres sentiments envers les personnages. Je me suis mise à les aimer (vraiment), les soutenir, à avoir peur avec et pour eux. Car derrière ces personnes fictives se cachent des vraies victimes.
L'hyper humanisation des personnages est justement dosée. Aucun cliché juste une écriture sobre, fluide et touchante. le suspens qui va en croissant ne peux que nous faire tourner les pages.
En conclusion, un roman fictif sur des bases historiques réelles, qui ne peut que nous toucher en plein coeur. Les personnages vont me hanter un certain temps.
33 ans seulement depuis la chute de ce mur de la honte. Je l'ai vécu et j'en garde des souvenirs.
Pour que plus jamais çà
