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Critique de Medulla
Un roman graphique séducteur mais assez inégal dans sa construction autour de trois temps.
Sur une île ensoleillée, deux frères Peppo et Sylvio affrontent la langueur estivale. L'arrivée d'une femme peintre vient chambouler leurs vacances.
Le deuxième chapitre est sombre, pluvieux et se situe dans un pensionnat pour adolescents. Peppo y suit l'enseignement et subit des troubles violents.
Le troisième chapitre marque le retour à l'île et la résolution des maux de l'adolescent et de l'intrigue policière.
J'ai adoré la première partie véritablement solaire. Les premiers troubles adolescents, les rivalités, l'ambivalence du comportement des deux frères correspondent bien au décor et à l'ambiance insulaire... Par contre la suite m'a perdu. Je n'ai pas compris l'intérêt de la partie dans le pensionnat qui délaye l'action dans des intrigues secondaires et la finalité du retour sur l'île m'a fait l'effet d'un pétard mouillé.
Tant pis pour moi et bonne lecture.
Sur une île ensoleillée, deux frères Peppo et Sylvio affrontent la langueur estivale. L'arrivée d'une femme peintre vient chambouler leurs vacances.
Le deuxième chapitre est sombre, pluvieux et se situe dans un pensionnat pour adolescents. Peppo y suit l'enseignement et subit des troubles violents.
Le troisième chapitre marque le retour à l'île et la résolution des maux de l'adolescent et de l'intrigue policière.
J'ai adoré la première partie véritablement solaire. Les premiers troubles adolescents, les rivalités, l'ambivalence du comportement des deux frères correspondent bien au décor et à l'ambiance insulaire... Par contre la suite m'a perdu. Je n'ai pas compris l'intérêt de la partie dans le pensionnat qui délaye l'action dans des intrigues secondaires et la finalité du retour sur l'île m'a fait l'effet d'un pétard mouillé.
Tant pis pour moi et bonne lecture.
