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Critique de LoupAlunettes
Avec un coup d'oeil sur la 1ère de couverture, peut-être que le visuel rehaussé de rose évoquera quelque chose aux lecteurs.
La revue " Witch mag" et sa BD?
Rien d'étonnant puisque cette héroïne y a été publié avant d'avoir droit à son volume solo.
Le style graphique vous est aussi familier?
L'illustrateur Antonello Danela s'est déja distingué sur les aventures drôles et quotidiennes de Rebecca et son microbe Ernest ( Ernest et Rebecca, la série).
" Sybil, la fée du cartable".
Peut-être devrions-nous dire du sac à dos pour ne pas froisser l'ado qui nous la fera découvrir.
Sybil va t-elle être une fée maraine qui va changer sa vie ou une calamité qui va tout y chambouler?
Ça ne serait pas le moment car la période de la puberté ne souffre aucun mauvais gag, surtout devant le public qu'il ne faut pas.
L'histoire.
Cette nouvelle rentrée pour Nina va être pénible, ça sent la mauvaise humeur et cela va trainer des pieds ( qu'est ce que l'on vous disait?).
Fort heureusement et nous finirons par découvrir pourquoi, Nina se verra gratifier d'une assistance magique pour remonter la pente.
Elle s'appelle donc Sybil et surtout, pour que le service soit continu, il ne faut jamais lui dire " merci".
L'auteur Michel Rodrigue nous fera tiquer et aussitôt sourire.
Qui accepterait de rendre service sans un merci?
Un ami, vos parents, chers jeunes lecteurs?
Quel abnégation!
Une esclave?
Oh non, quelle horreur!
Il faudrait aussitôt la libérer de sa mission cette pauvre petite.
Et pourtant, ne sommes nous pas dans la posture du génie de la bouteille, condamné à exaucer les voeux advitam Eternam à chaque frottement de récipient?
Oui, on aimait bien le principe.
Allez! Son de clochette et au travail!
Cette Sybil a l'air plutôt satisfaite de son sort et tentera même de faire de son mieux.
Rendre service, cela ouvre sur de nombreuses perspectives, Nina va t-elle un peu abuser ou s'obliger à faire les choses par elle-même?
Les lecteurs vont se régaler, ça va pétiller de lumière et voltiger dans les airs à tout va. Il y a du "Jumanji" dans le quartier.
Le fantastique va s'inviter dans le réel de Nina et ce premier va tenter aussi de la tirer vers lui.
L'auteur laissera planer une connexion entre la famille de Nina et ce monde magique.
Toute cette partie sera à découvrir au delà du tome 1.
Nous comprenons que la maman de Nina en devienne un peu hystérique.
Sybil est une petite damoiselle très stylée et coquette, le personnage devrait plaire.
Barbara Canepa, Alessandro Barbucci et donc, Antonello Danela...
Nous sommes devenus friands de cette team de dessinateurs qui nous ramènent aux studios d'animation Disney à l'italienne.
Le genre graphique animé est très plaisant, nous avons toujours cette impression d'être doublement recompensés sur un seul format.
La revue " Witch mag" et sa BD?
Rien d'étonnant puisque cette héroïne y a été publié avant d'avoir droit à son volume solo.
Le style graphique vous est aussi familier?
L'illustrateur Antonello Danela s'est déja distingué sur les aventures drôles et quotidiennes de Rebecca et son microbe Ernest ( Ernest et Rebecca, la série).
" Sybil, la fée du cartable".
Peut-être devrions-nous dire du sac à dos pour ne pas froisser l'ado qui nous la fera découvrir.
Sybil va t-elle être une fée maraine qui va changer sa vie ou une calamité qui va tout y chambouler?
Ça ne serait pas le moment car la période de la puberté ne souffre aucun mauvais gag, surtout devant le public qu'il ne faut pas.
L'histoire.
Cette nouvelle rentrée pour Nina va être pénible, ça sent la mauvaise humeur et cela va trainer des pieds ( qu'est ce que l'on vous disait?).
Fort heureusement et nous finirons par découvrir pourquoi, Nina se verra gratifier d'une assistance magique pour remonter la pente.
Elle s'appelle donc Sybil et surtout, pour que le service soit continu, il ne faut jamais lui dire " merci".
L'auteur Michel Rodrigue nous fera tiquer et aussitôt sourire.
Qui accepterait de rendre service sans un merci?
Un ami, vos parents, chers jeunes lecteurs?
Quel abnégation!
Une esclave?
Oh non, quelle horreur!
Il faudrait aussitôt la libérer de sa mission cette pauvre petite.
Et pourtant, ne sommes nous pas dans la posture du génie de la bouteille, condamné à exaucer les voeux advitam Eternam à chaque frottement de récipient?
Oui, on aimait bien le principe.
Allez! Son de clochette et au travail!
Cette Sybil a l'air plutôt satisfaite de son sort et tentera même de faire de son mieux.
Rendre service, cela ouvre sur de nombreuses perspectives, Nina va t-elle un peu abuser ou s'obliger à faire les choses par elle-même?
Les lecteurs vont se régaler, ça va pétiller de lumière et voltiger dans les airs à tout va. Il y a du "Jumanji" dans le quartier.
Le fantastique va s'inviter dans le réel de Nina et ce premier va tenter aussi de la tirer vers lui.
L'auteur laissera planer une connexion entre la famille de Nina et ce monde magique.
Toute cette partie sera à découvrir au delà du tome 1.
Nous comprenons que la maman de Nina en devienne un peu hystérique.
Sybil est une petite damoiselle très stylée et coquette, le personnage devrait plaire.
Barbara Canepa, Alessandro Barbucci et donc, Antonello Danela...
Nous sommes devenus friands de cette team de dessinateurs qui nous ramènent aux studios d'animation Disney à l'italienne.
Le genre graphique animé est très plaisant, nous avons toujours cette impression d'être doublement recompensés sur un seul format.
