Une magnifique et bouleversante évocation de la littérature, au sens large, c'est-à-dire des livres qui la constituent et de toutes les pierres, les lieux et les voyages qu'elle hante. Saint-Germain-des-Prés n'est plus, et il est pourtant éternel. Merci
Olivier Rolin. Un texte plein d'humanité et d'humilité.
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