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Critique de Xian
Je dois avouer que la lecture de ce roman me laisse sur un sentiment partagé.
Dans un monde peuplé d'anges, Kaya, la rebelle, dernière représentante de sa famille, et Rham, le dominateur, le roi de la cité, nous invite dans leur relation quasi sadomasochiste.
Choisis des dieux, leur amour ne s'exprime que dans la bestialité de leurs rapports sexuels. Je ne suis pas fan, mais pourquoi pas.
Ensuite, à part cette entente charnelle, ce n'est que tensions et disputes, voire égoïsme, sans aucune concession, ni d'un côté, ni de l'autre. À mon avis, le récit est trop centré sur leurs conflits, leurs états d'âme, pas assez sur l'univers qui les entoure. du coup, le genre fantasy apporte peu à l'histoire. Les dieux choisissent, décident pour les anges, d'accord, mais au fond, malgré leurs ailes, leurs légendes, leurs rites, les protagonistes sont très humains. Trop humains. Leur vie quotidienne ressemble à celle des humains, leurs petites manies, leurs habitudes, leurs préoccupations aussi.
Pour finir, on pourrait déplorer quelques clichés, des transitions quelques fois rapides, des artifices anachroniques, et une chute trop facile à mon goût. Tous cela est donc perfectible. On sent pourtant un vrai potentiel.
Car malgré tous ces reproches, va savoir pourquoi, j'ai apprécié l'écriture, le dynamisme de l'intrigue. On ne s'ennuie pas une seconde, jusqu'à en oublier les défauts.
Lien : https://www.atramenta.net/co..
Dans un monde peuplé d'anges, Kaya, la rebelle, dernière représentante de sa famille, et Rham, le dominateur, le roi de la cité, nous invite dans leur relation quasi sadomasochiste.
Choisis des dieux, leur amour ne s'exprime que dans la bestialité de leurs rapports sexuels. Je ne suis pas fan, mais pourquoi pas.
Ensuite, à part cette entente charnelle, ce n'est que tensions et disputes, voire égoïsme, sans aucune concession, ni d'un côté, ni de l'autre. À mon avis, le récit est trop centré sur leurs conflits, leurs états d'âme, pas assez sur l'univers qui les entoure. du coup, le genre fantasy apporte peu à l'histoire. Les dieux choisissent, décident pour les anges, d'accord, mais au fond, malgré leurs ailes, leurs légendes, leurs rites, les protagonistes sont très humains. Trop humains. Leur vie quotidienne ressemble à celle des humains, leurs petites manies, leurs habitudes, leurs préoccupations aussi.
Pour finir, on pourrait déplorer quelques clichés, des transitions quelques fois rapides, des artifices anachroniques, et une chute trop facile à mon goût. Tous cela est donc perfectible. On sent pourtant un vrai potentiel.
Car malgré tous ces reproches, va savoir pourquoi, j'ai apprécié l'écriture, le dynamisme de l'intrigue. On ne s'ennuie pas une seconde, jusqu'à en oublier les défauts.
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