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Critique de ancarlafernandes
Préface écrit par le célèbre auteur Deepak Chopra et par le petit-fils de Mahatma Gandhi, Arun Ghandi.
Dans les pages qui suivent l'introduction, Marshall B. Rosenberg propose la réflexion et l'adoption au quotidien d'un dialogue fondé sur l'empathie et la bienveillance. Il donne les outils pour reconnaître et abattre les murs bâtis dans une société de jugements où tout est polarisé.
Les exemples présentés sont judicieux et permettent au lecteur de développer son empathie en comprenant la source de la colère, de l'exaspération, de l'agressivité, de la haine, voire du malheur des "méchants".
"La Communication Non Violente suscite qualités d'écoute, respect et fait naître un courant de générosité réciproque. Elle nous engage à reconsidérer la façon dont nous nous exprimons et dont nous écoutons l'autre"
"La communication aliénante entrave la bienveillance et s'exprime à travers des jugements moralisateurs, les reproches, les insultes, le dénigrement, l'étiquetage, la comparaison, les diagnostics et la catégorisation.
(...) Ce type de communication, où les désirs sont communiqués sous forme d'exigences, est un pilier des sociétés fondée sur des principes de hiérarchie ou de domination. Elle nous conduit à nous exprimer ou à nous comporter de manière blessante vis-à-vis des autres et de nous-mêmes".
"La première composante de la CNV consiste à observer sans juger et la deuxième à exprimer ce que l'on ressent (...) Nous disposons souvent d'un lexique bien plus riche pour qualifier autrui que pour décrire clairement nos propres émotions".
Dans les pages qui suivent l'introduction, Marshall B. Rosenberg propose la réflexion et l'adoption au quotidien d'un dialogue fondé sur l'empathie et la bienveillance. Il donne les outils pour reconnaître et abattre les murs bâtis dans une société de jugements où tout est polarisé.
Les exemples présentés sont judicieux et permettent au lecteur de développer son empathie en comprenant la source de la colère, de l'exaspération, de l'agressivité, de la haine, voire du malheur des "méchants".
"La Communication Non Violente suscite qualités d'écoute, respect et fait naître un courant de générosité réciproque. Elle nous engage à reconsidérer la façon dont nous nous exprimons et dont nous écoutons l'autre"
"La communication aliénante entrave la bienveillance et s'exprime à travers des jugements moralisateurs, les reproches, les insultes, le dénigrement, l'étiquetage, la comparaison, les diagnostics et la catégorisation.
(...) Ce type de communication, où les désirs sont communiqués sous forme d'exigences, est un pilier des sociétés fondée sur des principes de hiérarchie ou de domination. Elle nous conduit à nous exprimer ou à nous comporter de manière blessante vis-à-vis des autres et de nous-mêmes".
"La première composante de la CNV consiste à observer sans juger et la deuxième à exprimer ce que l'on ressent (...) Nous disposons souvent d'un lexique bien plus riche pour qualifier autrui que pour décrire clairement nos propres émotions".
