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Critique de Rodney
Éprise du genre dystopique post-apocalyptique, je ne pouvais assurément pas passer à côté de ce livre.
Tout comme les autres livres du genre (Uglies, The Hunger Games...), le livre nous présente un monde plus ou moins dégradé, divisé et dirigé par un gouvernement pour le moins douteux.
Afin d'éviter rébellions contre le gouvernement et conflits internes, chaque individu se trouve, l'année de ses 16 ans, évalué afin de détecter dans quelle faction il se trouvera affecté jusqu'à la fin de sa vie (le résultat de ces évaluations fait cependant office de conseil, et n'érige pas un mur contre la volonté de l'individu en question). Ces factions sont au nombre de 5, chacune avançant une aptitude particulière :
- Les Altruistes, prônant l'oubli de soi et l'aide à autrui.
- Les Audacieux, non sans peurs comme on pourrait le croire, mais essayant justement de les surpasser, surtout face au danger.
- Les Érudits, toujours en soif de connaissance.
- Les Fraternels, les pacifistes, en paisible harmonie avec la nature.
- Les Sincères, la vérité et la franchise avant tout, même s'il n'est pas toujours plaisant de l'entendre.
Au milieu de tout cela se place Béatrice, issue d'une famille Altruiste, mais qui ne s'est jamais vraiment sentie à sa place, contrairement à son frère. Les résultats de son évaluation vont montrer qu'elle est une erreur, autrement qualifiée : une DIVERGENTE.
Les Divergents sont des aberrations, car ce n'est pas qu'ils ne rentrent dans aucune case, mais au contraire qu'ils sont aptes à s'ouvrir à plusieurs factions. Béatrice doit donc à ce moment là cacher sa véritable nature sous les traits d'une Audacieuse.
L'environnement mis en place fait peur. On ne peut s'empêcher de penser à un moment ou à un autre (voir plusieurs fois, comme dans mon cas) : "Et si ça se passait réellement comme ça ?". Comment penser qu'en divisant des personnes sous des bannières différentes (qui consiste en un seul et unique caractère) en prenant comme base ce qu'ils sont réellement, comment pouvons-nous imaginer un seul instant qu'il n'y ait ni erreurs ni conflits ?
Veronica Roth nous montre que ce système était voué à l'échec dès le départ. Pas seulement en suivants les aventures (et mésaventures) de Béatrice, mais en nous montrant qu'un Être Humain ne peut être défini pas un trait de caractère en particulier. L'auteure nous étale de multiples personnalités, parfois bonne, parfois mauvaise, parfois un peu des deux :
- Béatrice/Tris : altruiste, audacieuse, peureuse, amoureuse, forte, débrouillarde...
- Quatre/Tobias : Protecteur, distant, malin...
- Peter : Cruel, lâche...
- al : Émotionnellement faible, confus, manipulable...
Roth nous montre qu'une personne a BESOIN de changer face à un nouvel environnement, ce qui est à la fois la force et la faiblesse de l'humain.
J'ai donc beaucoup apprécié le fait que tout au long du livre, on nous montre qu'une seule caractéristique ne signe pas la nature complète d'un être (je crois, que plus encore que Tris, ses parents sont un bon exemple de ce que j'essaye d'avancer), mais qu'il s'agit au contraire d'un tout.
D'un côté plus affectif maintenant, c'est sans grand étonnement que l'on voit le couple Tris/Tobias se former, pour notre plus grand plaisir. Je ne peux pas dire à quel point mon coeur a été malmené, entre les pointes au coeur, les moments où il s'accélère, et les moments, plus fatidiques, où les syncopes deviennent si nombreuses que l'on arrête vite de les compter.
À cela je rajouterais que ma scène préférée restera à jamais celle de la grande roue, qui pour moi est l'instant où tout s'est réellement déclenché.
Énorme coup de coeur, qui place Divergent dans mon top 10 de livres préférés sans attendre.
J'attends donc avec une impatiente insoutenable la sortie d'Insurgent, au point même que je n'attendrais sûrement pas la traduction française pour avoir la suite des aventures de Tris (pour preuves mes passages journalier sur le Twitter et le Tumblr de Veronica Roth, à l'affût de n'importe quel teaser...)
Tout comme les autres livres du genre (Uglies, The Hunger Games...), le livre nous présente un monde plus ou moins dégradé, divisé et dirigé par un gouvernement pour le moins douteux.
Afin d'éviter rébellions contre le gouvernement et conflits internes, chaque individu se trouve, l'année de ses 16 ans, évalué afin de détecter dans quelle faction il se trouvera affecté jusqu'à la fin de sa vie (le résultat de ces évaluations fait cependant office de conseil, et n'érige pas un mur contre la volonté de l'individu en question). Ces factions sont au nombre de 5, chacune avançant une aptitude particulière :
- Les Altruistes, prônant l'oubli de soi et l'aide à autrui.
- Les Audacieux, non sans peurs comme on pourrait le croire, mais essayant justement de les surpasser, surtout face au danger.
- Les Érudits, toujours en soif de connaissance.
- Les Fraternels, les pacifistes, en paisible harmonie avec la nature.
- Les Sincères, la vérité et la franchise avant tout, même s'il n'est pas toujours plaisant de l'entendre.
Au milieu de tout cela se place Béatrice, issue d'une famille Altruiste, mais qui ne s'est jamais vraiment sentie à sa place, contrairement à son frère. Les résultats de son évaluation vont montrer qu'elle est une erreur, autrement qualifiée : une DIVERGENTE.
Les Divergents sont des aberrations, car ce n'est pas qu'ils ne rentrent dans aucune case, mais au contraire qu'ils sont aptes à s'ouvrir à plusieurs factions. Béatrice doit donc à ce moment là cacher sa véritable nature sous les traits d'une Audacieuse.
L'environnement mis en place fait peur. On ne peut s'empêcher de penser à un moment ou à un autre (voir plusieurs fois, comme dans mon cas) : "Et si ça se passait réellement comme ça ?". Comment penser qu'en divisant des personnes sous des bannières différentes (qui consiste en un seul et unique caractère) en prenant comme base ce qu'ils sont réellement, comment pouvons-nous imaginer un seul instant qu'il n'y ait ni erreurs ni conflits ?
Veronica Roth nous montre que ce système était voué à l'échec dès le départ. Pas seulement en suivants les aventures (et mésaventures) de Béatrice, mais en nous montrant qu'un Être Humain ne peut être défini pas un trait de caractère en particulier. L'auteure nous étale de multiples personnalités, parfois bonne, parfois mauvaise, parfois un peu des deux :
- Béatrice/Tris : altruiste, audacieuse, peureuse, amoureuse, forte, débrouillarde...
- Quatre/Tobias : Protecteur, distant, malin...
- Peter : Cruel, lâche...
- al : Émotionnellement faible, confus, manipulable...
Roth nous montre qu'une personne a BESOIN de changer face à un nouvel environnement, ce qui est à la fois la force et la faiblesse de l'humain.
J'ai donc beaucoup apprécié le fait que tout au long du livre, on nous montre qu'une seule caractéristique ne signe pas la nature complète d'un être (je crois, que plus encore que Tris, ses parents sont un bon exemple de ce que j'essaye d'avancer), mais qu'il s'agit au contraire d'un tout.
D'un côté plus affectif maintenant, c'est sans grand étonnement que l'on voit le couple Tris/Tobias se former, pour notre plus grand plaisir. Je ne peux pas dire à quel point mon coeur a été malmené, entre les pointes au coeur, les moments où il s'accélère, et les moments, plus fatidiques, où les syncopes deviennent si nombreuses que l'on arrête vite de les compter.
À cela je rajouterais que ma scène préférée restera à jamais celle de la grande roue, qui pour moi est l'instant où tout s'est réellement déclenché.
Énorme coup de coeur, qui place Divergent dans mon top 10 de livres préférés sans attendre.
J'attends donc avec une impatiente insoutenable la sortie d'Insurgent, au point même que je n'attendrais sûrement pas la traduction française pour avoir la suite des aventures de Tris (pour preuves mes passages journalier sur le Twitter et le Tumblr de Veronica Roth, à l'affût de n'importe quel teaser...)
