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Critique de Malivriotheque
Beatrice ne se sent pas vraiment à sa place dans sa faction. Elle fait le choix de quitter à jamais les Altruistes et sa famille pour devenir une Audacieuse. Pourtant, elle n'a pas le même profil que tous les autres adolescents : elle est Divergente, soit-disant dangereuse pour les leaders des cinq factions en place puisqu'ils ne peuvent pas la contrôler à leur guise. Beatrice devenue Tris doit garder ce secret qui pourrait la tuer, tandis qu'elle suit la formation des novices Audacieux...
Qui disait que Hunger Games, c'était pas de la grande littérature niveau écriture ? Moi ? Ah oui... A côté, on pourrait croire Divergente écrit par un élève de lycée qui a du mal avec les phrases complexes. En même temps, l'auteur a écrit ce récit sur les bancs de la fac, donc c'est presque pareil...! C'est très simplement raconté, pas de chichi littéraire dans cet ouvrage. Il faut alors se laisser porter par l'action, puisque qu'il faut faire l'impasse sur les envolées lyriques.
C'est une histoire intéressante, sans doute moins "choc" que celle des Hunger Games (ne pas les comparer serait mission impossible, vu que les deux histoires sont contruites sur le même moule dystopico-teen et font toutes deux les beaux jours de la littérature young adult), et beaucoup plus lente. La relation entre Tris et Quatre est assez culcul (mais il faut bien satisfaire les gamines de 13 ans qui rêvent d'aventure et de beaux mecs, quand ceux-ci arrêteront de leur tirer la langue d'ailleurs), a plus de mal à passer avec un public plus âgé. Veronica Roth rajoute par-ci par-là des mini passages pas du tout naturels qui rappellent que Tris est divergente et que visiblement c'est dangereux, un peu comme si l'éditeur lui avait demandé de rajouter ces passages pour bien rappeler qu'il y avait un certain enjeux avec cette histoire. La méchante Jeanine ne fait pas vraiment peur, n'a pas assez de charisme pour une méchante à mon goût. Elle est d'ailleurs très abstente du récit, pour une menace... Et puis, il vous fait flipper, vous, ce nom ??
Mais bon, on passe quand même un bon moment, c'est intrigant, ça reste intéressant, et oui, c'est vrai, on aimerait bien connaître la suite, savoir ce qui va arriver... Mais on a quand même vu mieux (pour l'instant) concernant des sociétés futuristes brisées par la geurre et manipulées.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
Qui disait que Hunger Games, c'était pas de la grande littérature niveau écriture ? Moi ? Ah oui... A côté, on pourrait croire Divergente écrit par un élève de lycée qui a du mal avec les phrases complexes. En même temps, l'auteur a écrit ce récit sur les bancs de la fac, donc c'est presque pareil...! C'est très simplement raconté, pas de chichi littéraire dans cet ouvrage. Il faut alors se laisser porter par l'action, puisque qu'il faut faire l'impasse sur les envolées lyriques.
C'est une histoire intéressante, sans doute moins "choc" que celle des Hunger Games (ne pas les comparer serait mission impossible, vu que les deux histoires sont contruites sur le même moule dystopico-teen et font toutes deux les beaux jours de la littérature young adult), et beaucoup plus lente. La relation entre Tris et Quatre est assez culcul (mais il faut bien satisfaire les gamines de 13 ans qui rêvent d'aventure et de beaux mecs, quand ceux-ci arrêteront de leur tirer la langue d'ailleurs), a plus de mal à passer avec un public plus âgé. Veronica Roth rajoute par-ci par-là des mini passages pas du tout naturels qui rappellent que Tris est divergente et que visiblement c'est dangereux, un peu comme si l'éditeur lui avait demandé de rajouter ces passages pour bien rappeler qu'il y avait un certain enjeux avec cette histoire. La méchante Jeanine ne fait pas vraiment peur, n'a pas assez de charisme pour une méchante à mon goût. Elle est d'ailleurs très abstente du récit, pour une menace... Et puis, il vous fait flipper, vous, ce nom ??
Mais bon, on passe quand même un bon moment, c'est intrigant, ça reste intéressant, et oui, c'est vrai, on aimerait bien connaître la suite, savoir ce qui va arriver... Mais on a quand même vu mieux (pour l'instant) concernant des sociétés futuristes brisées par la geurre et manipulées.
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