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Critique de RobertLePlana
Aylayna vit seule avec son fils. Une existence tranquille qui vole en éclat quand Monakay, un guerrier hybride, et Kayrekay, son compagnon d'armes, l'emmènent loin de la Terre. Elle fera des découvertes troublantes sur ses origines et sur la place qu'elle occupe dans un jeu de pouvoir aux proportions cosmiques. Dans ce dernier, l'humanité n'est rien d'autre qu'une source d'énergie et une pièce sur l'échiquier pour la dynastie, une fratrie de divinités dont la survie est menacée. Quel rôle incarnera Aylayna dans cette partie ? Que représente-t-elle pour la dynastie ? Et quel est ce lien particulier qui le rattache aux deux guerriers hybrides ?
L'histoire commence doucement, presque comme dans une contemplation. Puis les fulgurances de fureur nous font comprendre qu'il y a une pulsation qui rythme notre lecture. Un battement de coeur de plus en plus puissant illustrant une terrible fatalité. Un drame qui se révèle petit à petit à nous. Un drame intime, la lutte des personnages pour préserver leur part d'humanité qui fait écho au drame universel de la pseudo-divinité.
Je connaissais le talent hors norme de l'auteur pour tisser des textes flamboyants, servis par un vocabulaire riche, qui accompagnent son imagination foisonnante. Nous avons l'impression d'être dans un poème épique. C'est beau et vertigineux.
Les descriptions sont d'une grande finesse. On hume le souffle chaud des différentes créatures qu'on rencontre. On ressent la douleur et le goût du sang. Des personnages vivants qu'on peut presque les toucher, respirer leur odeur. Ils nous fascinent. Leur regard nous magnétise, nous pousse à nous interroger sur l'essence même de l'humain.
Avec des thèmes forts tels que l'immortalité, le destin de l'humanité et sa place dans l'univers, ce premier tome prend l'aspect d'une série de coups de pinceau géniaux sur ce qu'on devine être une fresque grandiose. On a plus qu'une envie : lire la suite !
L'histoire commence doucement, presque comme dans une contemplation. Puis les fulgurances de fureur nous font comprendre qu'il y a une pulsation qui rythme notre lecture. Un battement de coeur de plus en plus puissant illustrant une terrible fatalité. Un drame qui se révèle petit à petit à nous. Un drame intime, la lutte des personnages pour préserver leur part d'humanité qui fait écho au drame universel de la pseudo-divinité.
Je connaissais le talent hors norme de l'auteur pour tisser des textes flamboyants, servis par un vocabulaire riche, qui accompagnent son imagination foisonnante. Nous avons l'impression d'être dans un poème épique. C'est beau et vertigineux.
Les descriptions sont d'une grande finesse. On hume le souffle chaud des différentes créatures qu'on rencontre. On ressent la douleur et le goût du sang. Des personnages vivants qu'on peut presque les toucher, respirer leur odeur. Ils nous fascinent. Leur regard nous magnétise, nous pousse à nous interroger sur l'essence même de l'humain.
Avec des thèmes forts tels que l'immortalité, le destin de l'humanité et sa place dans l'univers, ce premier tome prend l'aspect d'une série de coups de pinceau géniaux sur ce qu'on devine être une fresque grandiose. On a plus qu'une envie : lire la suite !
