Je dois tout aux Shadoks, avant eux je ne savais rien, à présent je n'en sais pas davantage, mais je sais que je sais rien et ce rien ce n'est pas rien car il crée un vide qui peut s'emplir de tout - c'est l'avantage du vide de pouvoir tout y mettre, l'ignorance et le savoir....
(extrait de la préface, signée Claude Piéplu, du petit volume offert, en 2000, aux abonnés de canal+ à l'occasion du retour des Shadoks sur la chaîne cryptée)
Avec un escalier prévu pour la montée on réussit souvent à monter plus bas qu’on ne serait descendu avec un escalier prévu pour la descente.