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Critique de Vielivre
Ségolène Royal, femme politique, a publié ce livre Ce que je peux enfin vous dire en 2018 dans lequel elle revient sur son mandat de ministre de l'environnement sous la présidence de son ex-mari François Hollande et les difficultés qu'elle a rencontrées.
Femme politique, membre du parti Socialiste depuis 1978, elle a occupé plusieurs postes au sein de plusieurs gouvernements. Elle a côtoyé les grands de ce monde et a su analyser subtilement les avantages et les travers de cette notoriété publique.
Les termes féministe et sexiste ont souvent été nommés et écrits pour caractériser son livre. Les termes sont un peu déshonorants pour une réalité sans fard qu'elle a voulu donner : la difficulté de la femme a trouvé sa place en politique, les sobriquets qui lui sont assenés quand elle ose être en désaccord, les « délires verbaux » des hommes au sein des commissions, au sein de l'Assemblée Nationale.
Dans son livre, elle présente pourtant un visage humain, une femme pleine d'émotions, qui se bat pour ses convictions. Elle rappelle ce qu'elle a mis en place au sein des différents gouvernements. Elle note aussi plusieurs affaires pour lesquelles elle a dû se confronter aux différents protagonistes antinomiques du gouvernement : Notre Dame des Landes, la taxe du l'huile de palme, les boues toxiques déversées dans la mer Méditerranée. Elle allègue sans langue de bois, les barrières qu'elle a trouvées face à elle en tant que ministre de l'Environnement.
Pour finir, elle expose sur différents points sa vision de la politique, ce besoin qu'elle exprime d'une écoute plus ouverte de toutes les classes sociales, de « l'expertise savante et l'expérience vécue », d'une participation accrue des parlementaires et des citoyens en «co-construction ».
Son livre est intéressant !
Femme politique, membre du parti Socialiste depuis 1978, elle a occupé plusieurs postes au sein de plusieurs gouvernements. Elle a côtoyé les grands de ce monde et a su analyser subtilement les avantages et les travers de cette notoriété publique.
Les termes féministe et sexiste ont souvent été nommés et écrits pour caractériser son livre. Les termes sont un peu déshonorants pour une réalité sans fard qu'elle a voulu donner : la difficulté de la femme a trouvé sa place en politique, les sobriquets qui lui sont assenés quand elle ose être en désaccord, les « délires verbaux » des hommes au sein des commissions, au sein de l'Assemblée Nationale.
Dans son livre, elle présente pourtant un visage humain, une femme pleine d'émotions, qui se bat pour ses convictions. Elle rappelle ce qu'elle a mis en place au sein des différents gouvernements. Elle note aussi plusieurs affaires pour lesquelles elle a dû se confronter aux différents protagonistes antinomiques du gouvernement : Notre Dame des Landes, la taxe du l'huile de palme, les boues toxiques déversées dans la mer Méditerranée. Elle allègue sans langue de bois, les barrières qu'elle a trouvées face à elle en tant que ministre de l'Environnement.
Pour finir, elle expose sur différents points sa vision de la politique, ce besoin qu'elle exprime d'une écoute plus ouverte de toutes les classes sociales, de « l'expertise savante et l'expérience vécue », d'une participation accrue des parlementaires et des citoyens en «co-construction ».
Son livre est intéressant !
