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Critique de Swendra
Ma note va paraître dure mais pour moi, ce roman n'est pas fini et il est difficile de noter un produit qui mériterait encore une relecture. J'ai eu l'impression de lire un premier jet avec du potentiel mais qui manque encore considérablement de logique.
Les chapitres déjà, sont découpés de façon totalement illogique, parfois au milieu d'un dialogue. Il peut se passer une soirée, une nuit et une matinée dans un seul et même chapitre, puis il va s'interrompre au milieu d'une scène et poursuivre sur le chapitre suivant. C'est assez peu conventionnel de découper son roman de cette façon, selon moi, et à la lecture cela m'a vraiment perturbée.
Les dialogues sont parfois un peu maladroits (ceux du personnage d'Alex surtout, qui essaye à tout bout de champ de nous montrer qu'à Marseille on parle "marseillais" et puis c'est tout).
J'ai trouvé qu'il y avait une sorte d'illogisme dans le personnage de Silver. Il se la joue mystérieux mais fait entrer Liz dans sa vie sans hésiter, lui présentant tous ses amis au bout de quelques heures seulement. Et que dire du personnage de Liz ? Elle oublie bien vite son Nathan (et nous aussi, puisqu'on ne sait pratiquement rien de ce personnage ni de sa vie avec l'héroïne) au contact de Silver. Pour ma part, Liz m'a très vite agacée avec son côté peu sûre d'elle, alors qu'évidement Silver la trouve immédiatement magnifique (comme tous les autres personnages du roman) et n'aura de cesse de l'obliger à exprimer sa féminité. Obliger est bien le terme approprié. Au début, alors qu'ils ne se connaissent que depuis quelques heures, j'ai trouvé l'attitude de Silver carrément malsaine, à vouloir forcer Liz à dormir avec lui ou à se déshabiller devant elle. Et Liz, cela ne semble même pas la choquer plus que ça...
Pour finir, la fin justement, n'en est pas une. On a l'impression que l'auteure avait atteint son quota de mots et a été obligée de couper son roman "n'importe où" pour passer au tome suivant. Classiquement un tome de roman suit la structure du récit : situation initiale, élément déclencheur, péripéties, élément de résolution et situation finale, grosso modo. Une fois tous les problèmes de l'histoire résolus, il est traditionnellement admis que l'auteur peut proposer un dernier problème qui amènera un tome 2. Là, on s'arrête au milieu des péripéties et au milieu de l'histoire, sans obtenir aucun élément de réponse à aucune des problématiques amenée par l'auteure. C'est très dérangeant, car cela donne une impression d'inachevé. A l'image du reste du roman...
Les chapitres déjà, sont découpés de façon totalement illogique, parfois au milieu d'un dialogue. Il peut se passer une soirée, une nuit et une matinée dans un seul et même chapitre, puis il va s'interrompre au milieu d'une scène et poursuivre sur le chapitre suivant. C'est assez peu conventionnel de découper son roman de cette façon, selon moi, et à la lecture cela m'a vraiment perturbée.
Les dialogues sont parfois un peu maladroits (ceux du personnage d'Alex surtout, qui essaye à tout bout de champ de nous montrer qu'à Marseille on parle "marseillais" et puis c'est tout).
J'ai trouvé qu'il y avait une sorte d'illogisme dans le personnage de Silver. Il se la joue mystérieux mais fait entrer Liz dans sa vie sans hésiter, lui présentant tous ses amis au bout de quelques heures seulement. Et que dire du personnage de Liz ? Elle oublie bien vite son Nathan (et nous aussi, puisqu'on ne sait pratiquement rien de ce personnage ni de sa vie avec l'héroïne) au contact de Silver. Pour ma part, Liz m'a très vite agacée avec son côté peu sûre d'elle, alors qu'évidement Silver la trouve immédiatement magnifique (comme tous les autres personnages du roman) et n'aura de cesse de l'obliger à exprimer sa féminité. Obliger est bien le terme approprié. Au début, alors qu'ils ne se connaissent que depuis quelques heures, j'ai trouvé l'attitude de Silver carrément malsaine, à vouloir forcer Liz à dormir avec lui ou à se déshabiller devant elle. Et Liz, cela ne semble même pas la choquer plus que ça...
Pour finir, la fin justement, n'en est pas une. On a l'impression que l'auteure avait atteint son quota de mots et a été obligée de couper son roman "n'importe où" pour passer au tome suivant. Classiquement un tome de roman suit la structure du récit : situation initiale, élément déclencheur, péripéties, élément de résolution et situation finale, grosso modo. Une fois tous les problèmes de l'histoire résolus, il est traditionnellement admis que l'auteur peut proposer un dernier problème qui amènera un tome 2. Là, on s'arrête au milieu des péripéties et au milieu de l'histoire, sans obtenir aucun élément de réponse à aucune des problématiques amenée par l'auteure. C'est très dérangeant, car cela donne une impression d'inachevé. A l'image du reste du roman...
