Chaque livre a une âme. L’âme de celui qui l’a écrit, et l’âme de ceux qui l’ont lu, ont vécu et rêvé avec lui.
Avec le temps, vous verrez que parfois, ce qui compte, ce n’est pas ce qu’on a, mais ce à quoi on renonce.
[…] nous restons vivants tant que quelqu'un se souvient de nous.
Les livres sont des miroirs, et l'on y voit que ce qu'on porte en soi-même.
«Rien ne marque autant un lecteur que le premier livre qui s'ouvre vraiment un chemin jusqu'à notre coeur. Ces premières images, l'écho de ces premiers mots que nous croyons avoir laissés derrière nous, nous accompagnent toute notre vie et sculptent dans notre mémoire un palais ou tôt ou tard - et peu importe le nombre de livres que nous lisons, combien d'univers nous découvrons-, nous reviendrons un jour.»
Et garde tes rêves, (...) tu ne peux jamais savoir à quel moment tu en auras besoin.
Le sot parle, le lâche se tait, le sage écoute.
Les gens caquettent à qui mieux mieux. L'homme ne descend pas du singe, il descend de la poule.
Il faut toujours que les gens qui n'ont pas de vie se mêlent de celle des autres
Les mots avec lesquels on empoisonne le cœur d’un enfant, par petitesse ou ignorance, restent enkystés dans sa mémoire et, tôt ou tard, lui brûlent l’âme.