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Critique de tuuttuut
Il m'est très difficile de rédiger une critique sur cet objet que je ne parviens même pas à qualifier de « littéraire ». En effet, je vais tenter de faire montre d'un peu plus de vocabulaire que l'auteur pour exprimer à quel point j'ai détesté écouter ce récit . Je tiens à préciser que le comédien qui nous en fait la lecture n'est aucunement remis en cause. Par ailleurs, le CD en lui-même n'est pas compatible avec tous les lecteurs CD, détail curieux sur lequel je passerai rapidement tant il parait totalement insignifiant au regard du contenu navrant de ce livre.
Il s'agit donc d'une suite d'élucubrations porno-névrotiques d'un auteur vraisemblablement dérangé qui m'ont immédiatement poussée dans un abîme de consternation. Dès le départ, et sans mise en garde aucune, l'auteur nous assène une suite de termes fleuris et obscènes rendant l'écoute douloureuse et pesante. Les termes sont redondants, le vocabulaire volontairement vulgaire instaure une sensation de malaise, à la limite du dérangeant. On ne voit pas vraiment où l'auteur veut en venir, la narration est hachée, entrecoupée de digressions inutiles. Je n'ai éprouvé aucun intérêt pour l'histoire qui m'a été proposée ; je dirais même qu'en l'espèce elle m'a été imposée et j'ai souffert son écoute avec une grande perplexité. En effet, je ne suis pas parvenue à comprendre à qui pouvait décemment s'adresser cet ouvrage. Bien trop cru pour une femme, bien trop torturé pour un homme. Les protagonistes caricaturaux et déviants ne nous attirent aucune sympathie, aucune forme d'identification non plus. Je ne m'étendrai pas davantage sur l'usage abusif d'une philosophie de comptoir inintéressante et absconse.
Il est dommage que la quatrième de couverture ne laisse présager ni le ton, ni la vacuité de ce récit. En outre, le prix de Flore qui lui est attribué en 2018 n'augure rien de flatteur quant à la qualité de ses choix passés et futurs.
Il s'agit donc d'une suite d'élucubrations porno-névrotiques d'un auteur vraisemblablement dérangé qui m'ont immédiatement poussée dans un abîme de consternation. Dès le départ, et sans mise en garde aucune, l'auteur nous assène une suite de termes fleuris et obscènes rendant l'écoute douloureuse et pesante. Les termes sont redondants, le vocabulaire volontairement vulgaire instaure une sensation de malaise, à la limite du dérangeant. On ne voit pas vraiment où l'auteur veut en venir, la narration est hachée, entrecoupée de digressions inutiles. Je n'ai éprouvé aucun intérêt pour l'histoire qui m'a été proposée ; je dirais même qu'en l'espèce elle m'a été imposée et j'ai souffert son écoute avec une grande perplexité. En effet, je ne suis pas parvenue à comprendre à qui pouvait décemment s'adresser cet ouvrage. Bien trop cru pour une femme, bien trop torturé pour un homme. Les protagonistes caricaturaux et déviants ne nous attirent aucune sympathie, aucune forme d'identification non plus. Je ne m'étendrai pas davantage sur l'usage abusif d'une philosophie de comptoir inintéressante et absconse.
Il est dommage que la quatrième de couverture ne laisse présager ni le ton, ni la vacuité de ce récit. En outre, le prix de Flore qui lui est attribué en 2018 n'augure rien de flatteur quant à la qualité de ses choix passés et futurs.
