Les soixante premières pages laissent entrevoir un style joyeux, bouffon et libre (parfois un peu forcé cependant) pour parler essentiellement de n'importe quoi (un nazi pétomane, un zizi surdimensionné...).
Et rapidement, on s'ennuie. La psychologie des personnages: zéro. La sociologie des Parisiens friqués et branleurs: zéro. Les scènes de sexe: zéro. L'intrigue enfin: zéro pointé.
Avec le matériel fourni par l'auteur, il y avait place, tout au plus, pour une nouvelle distrayante, sans les deux derniers tiers assommants.
On peut aussi s'interroger sur la crédibilité du Prix de Flore, attribué à ce livre, et sur sa quatre de couverture aussi attrayante que trompeuse.
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