>
Critique de ALDAMO21
Aïe ! je vais un peu décevoir Agnès.
Le titre était prometteur, mais avec « Eden » je n'ai pas retrouvé mon chemin jusqu'au jardin paradisiaque que j'avais découvert en lisant un autre roman « Summer ».
Je suis resté à l'orée du bois, qui devait être mystérieux et enchanteur. Une forêt où se cachaient, les elfes, les lutins, la fée Clochette, l'Ogre de Leïla, les perroquets d'Eric-Emmanuel et le Tigre bleu de Laurent, mais aussi des bad girls déguisées avec des plumes et des écorces, armées de lames sanguinolentes.
Monica Sabolo a manqué un peu de fantaisie et de rythme. Même le personnage dont elle était la narratrice manquait d'âme. Elle était trop taiseuse, trop secrète pour que je m'y attache vraiment. Elle fut même parfois inconsciente de suivre les garçons dans les bois, elle aurait pu rencontrer le loup.
Au début, j'ai eu du mal à situer le lieu, les personnages. Qui était l'autochtone et qui étaient les familles qui travaillaient sur le chantier de l'oléoduc.
Mais j'ai continué ma lecture jusqu'au bout, curieux de savoir la vérité sur l'agression de la pauvre jeune fille Lucy.
Là aussi, j'ai été un peu déçu, car je m'attendais à une fin moins conventionnelle, plus fantastique, comme un dernier coup de théâtre.
Il reste tout de même, une jolie histoire et l'écriture très aérienne de son auteure.
Le titre était prometteur, mais avec « Eden » je n'ai pas retrouvé mon chemin jusqu'au jardin paradisiaque que j'avais découvert en lisant un autre roman « Summer ».
Je suis resté à l'orée du bois, qui devait être mystérieux et enchanteur. Une forêt où se cachaient, les elfes, les lutins, la fée Clochette, l'Ogre de Leïla, les perroquets d'Eric-Emmanuel et le Tigre bleu de Laurent, mais aussi des bad girls déguisées avec des plumes et des écorces, armées de lames sanguinolentes.
Monica Sabolo a manqué un peu de fantaisie et de rythme. Même le personnage dont elle était la narratrice manquait d'âme. Elle était trop taiseuse, trop secrète pour que je m'y attache vraiment. Elle fut même parfois inconsciente de suivre les garçons dans les bois, elle aurait pu rencontrer le loup.
Au début, j'ai eu du mal à situer le lieu, les personnages. Qui était l'autochtone et qui étaient les familles qui travaillaient sur le chantier de l'oléoduc.
Mais j'ai continué ma lecture jusqu'au bout, curieux de savoir la vérité sur l'agression de la pauvre jeune fille Lucy.
Là aussi, j'ai été un peu déçu, car je m'attendais à une fin moins conventionnelle, plus fantastique, comme un dernier coup de théâtre.
Il reste tout de même, une jolie histoire et l'écriture très aérienne de son auteure.
