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Critique de arkor


diviser en 4 chapitres les 2 premiers amenent les personnages et pose l'histoire ... et les 2 derniers ( les 150 passions criminelles et les 150 passions meurtrieres ) amenenent l'horreur la vraie la dure ( plus que ce que l'esprit humain normal peut concevoir ) le livre le plus horrible qui m'a etait donner de lire .... ames sensibles s'abstenir de les lires toutes les deviances y passe meme les plus extremes ....

ex : 6. Elle est dans une cuve d'huile bouillante enchaînée.
7. Exposée droite à une machine qui lui lance six fois par minute un trait piquant dans
le corps, et toujours à une place nouvelle; la machine ne s'arrête que quand elle en
est couverte.
8. Les pieds dans une fournaise, et une masse de plomb sur sa tête l'abaisse peu à
peu, à mesure qu'elle se brûle.
9. Son bourreau la pique à tout instant avec un fer rouge; elle est liée devant lui; il
blesse ainsi peu à peu tout le corps en détail.
10. Elle est enchaînée à un pilier sous un globe de verre et vingt serpents affamés la
dévorent en détail toute vive.
11. Elle est pendue par une main avec deux boulets de canon aux pieds; si elle
tombe, c'est dans une fournaise.
12. Elle est empalée par la bouche, les pieds en l'air; un déluge de flammèches
ardentes lui tombe à tout instant sur le corps.
13. Les nerfs retirés du corps et liés à des cordons qui les allongent; et, pendant ce
temps-là, on les larde avec des pointes de fer brûlantes.
14. Tour à tour tenaillée et fouettée sur le con et le cul avec des martinets de fer à
molettes d'acier rouges, et, de temps en temps, égratignée avec des ongles de fer
ardents.
15. Elle est empoisonnée d'une drogue qui lui brûle et déchire les entrailles, qui lui
donne des convulsions épouvantables, lui fait pousser des hurlements affreux, et ne
doit la faire mourir que la dernière; ce supplice est un des plus terribles.
Le scélérat se promène dans son caveau aussitôt qu'il est descendu; il examine un
quart d'heure chaque supplice, en blasphémant comme un damné et en accablant la
patiente d'invectives. Quand à la fin il n'en peut plus, et que son foutre, captivé si
longtemps, est prêt à s'échapper, il se jette dans un fauteuil d'où il peut observer tous
les supplices. Deux des démons l'approchent, montrent leur cul et le branlent, et il
perd son foutre en jetant des hurlements qui couvrent totalement ceux des quinze
patientes. Cela fait, il sort; on donne le coup de grâce à celles qui ne sont pas encore
mortes, on enterre leurs corps, et tout est dit pour la quinzaine.
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