La saga des enfants des dieux, tome 4 : Diane

L’erreur est effectivement humaine, cependant moi, il me semble ne pas m’être trompée en vous assurant que vous n’étiez pas mon promis. Celui qui m’est destiné m’aimera d’un amour inconditionnel, sans intervention des Dieux. Celui qui m’aimera n’aura pas besoin d’ouvrir les yeux pour comprendre que je suis sienne..., il le saura dès le début. Et celui-là... sera l’homme de ma vie !

Gaussez-vous tant que vous le pourrez, car dès que les hommes seront libérés de leur serment, ils succomberont tous à mes envoûtants baisers.

Diane se tenait devant un Highlander, un vrai, puissant, indomptable..., un être de légende.
Un être qui ne ressemblait en rien à son prince charmant, un chevalier blond en armure, que Diane s’était imaginé dans ses rêves de fillette énamourée.

Nous luttons tous les jours contre des hordes de prêtres fanatiques. C’est comme une gangrène qu’aucun remède ne pourrait guérir

Diane...
Elle était la pureté, la délicatesse, une beauté parfaite avec cette chevelure qui rayonnait dans la nuit comme les éclats dorés d’un soleil d’été. Cependant, bien trop fragile pour être sa moitié.

Cependant, entre la vraie histoire et la légende contée aux enfants et... aux adultes, il y a une énorme différence.

Quelle ironie, quand Diane songeait à son ignorance sur un tel sujet, alors que les langues étrangères – le parler et l’écrit – comme le latin, le français, le germanique et l’espagnol n’avaient plus aucun secret pour elle.

Ce sont des contes que les ignorants racontent à leur entourage pour nous faire passer pour des monstres.

En cette période sombre qu’est l’hiver, le gui devient la clarté qui nous permet d’attendre le retour du soleil et du printemps. C’est, en quelque sorte, le triomphe de la Lumière sur les Ténèbres, le temps de la renaissance après la mort.