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Critique de Colibrille
Ninako est une jolie petite lycéenne sur le point de tomber follement amoureuse. Daiki est amoureux de Ninako mais malheureusement, ce n'est pas pour lui que bat le coeur de la jeune fille. Il bat pour Ren, un élève de seconde extrêmement séduisant mais surtout très renfermé...
Dès le premier tome, l'auteur nous propose un séduisant triangle amoureux. Le ton est donné ! L'intrigue en elle-même n'a donc rien d'extraordinaire. On reste dans les histoires classiques d'école, d'amitié et de premier amour. Pas très engageant dit comme ça. Et pourtant, vous le regretteriez si vous ne lisez pas cette série.
J'ai tout bonnement adoré ! Je dois dire que les dessins y sont pour beaucoup. Ce sont eux qui m'ont donné envie de découvrir la série. Je les trouve bien plus beaux que dans d'autres mangas. Les traits sont tout en rondeur, fins, doux mais expressifs (sans être exagérés, comme c'est souvent le cas dans les mangas) Ils retransmettent avec justesse et sensibilité les états d'âme des différents personnages. Si bien que malgré une intrigue plutôt commune, on s'attache énormément aux personnages : on compatit à leurs chagrins, on partage leurs joies, on rit de leur timidité, on se réjouit de leurs mésaventures. Vous l'aurez compris : un très bon shojô !
Dès le premier tome, l'auteur nous propose un séduisant triangle amoureux. Le ton est donné ! L'intrigue en elle-même n'a donc rien d'extraordinaire. On reste dans les histoires classiques d'école, d'amitié et de premier amour. Pas très engageant dit comme ça. Et pourtant, vous le regretteriez si vous ne lisez pas cette série.
J'ai tout bonnement adoré ! Je dois dire que les dessins y sont pour beaucoup. Ce sont eux qui m'ont donné envie de découvrir la série. Je les trouve bien plus beaux que dans d'autres mangas. Les traits sont tout en rondeur, fins, doux mais expressifs (sans être exagérés, comme c'est souvent le cas dans les mangas) Ils retransmettent avec justesse et sensibilité les états d'âme des différents personnages. Si bien que malgré une intrigue plutôt commune, on s'attache énormément aux personnages : on compatit à leurs chagrins, on partage leurs joies, on rit de leur timidité, on se réjouit de leurs mésaventures. Vous l'aurez compris : un très bon shojô !
