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Critique de Cronos
A peine reçu que déjà je le feuillette et ce que je vois me plaît beaucoup ! Un très grand merci à Babelio et aux éditions Caurette pour l'envoi de ce beau livre. Et quel beau livre, orné 640 dessins sur des thèmes aussi variés que l'onirisme, la mythologie, la science-fiction et bien plus encore, on entre tout droit dans le subconscient du dessinateur.
Comme il l'explique si bien « C'est aussi un instant qui me permet de transformer beaucoup d'énergie négative (stress, angoisse, frustration, …) en quelque chose de réel. » Les différentes émotions qu'il énumère sont bien présentent dans ses dessins, elles se transmettent avec aisance aux lecteurs. Je trouve qu'il y a aussi du positif, notamment dans la partie onirisme, bien qu'elle ait aussi sa part de sombre, elle dégage une atmosphère presque palpable du rêve dont on se souvient au réveil.
Beaucoup de belles créations sont présentes, je ne saurais en choisir qu'une seule, même par thème, le style de Jaouen Salaün me parle entièrement, je me projette avec aisance dans ses oeuvres. Dans l'introduction il décrit parfaitement son livre où les thèmes se mêlent et s'entremêlent, où les frontières sont minces entre chaque. Un mélange de genre qui se fait naturellement J'ai pris mon temps, je l'ai d'abord feuilleté puis pris au hasard certains dessins pour les regarder en détail puis je me suis résolu à tout regarder avec précision.
Une psychanalyse pourrait être faite si j'avais plus de compétences dans ce domaine, j'en tire quand même quelques conclusions, la première et que cette forme d'art est bien trop souvent oubliée quand il s'agit d'exprimer des sentiments, or comme le démontre l'auteur, c'est un bon moyen d'expiation. En second, le neuvième art n'est pas en reste niveau talents et je suis bien content d'avoir découvert ce dessinateur, encore un gros merci aux éditions Caurette pour l'envoi de ce beau livre. Et pour finir, il explore le beau, l'onirisme, la métaphore autant qu'un vers de Baudelaire a travers le dessin, une forme d'excellence selon moi, au minimum du talent.
En bonus, il m'a beaucoup inspiré pour mes propres dessins, j'y ai découvert ce que je n'arrivais pas forcément à dire ou représenter.
Comme il l'explique si bien « C'est aussi un instant qui me permet de transformer beaucoup d'énergie négative (stress, angoisse, frustration, …) en quelque chose de réel. » Les différentes émotions qu'il énumère sont bien présentent dans ses dessins, elles se transmettent avec aisance aux lecteurs. Je trouve qu'il y a aussi du positif, notamment dans la partie onirisme, bien qu'elle ait aussi sa part de sombre, elle dégage une atmosphère presque palpable du rêve dont on se souvient au réveil.
Beaucoup de belles créations sont présentes, je ne saurais en choisir qu'une seule, même par thème, le style de Jaouen Salaün me parle entièrement, je me projette avec aisance dans ses oeuvres. Dans l'introduction il décrit parfaitement son livre où les thèmes se mêlent et s'entremêlent, où les frontières sont minces entre chaque. Un mélange de genre qui se fait naturellement J'ai pris mon temps, je l'ai d'abord feuilleté puis pris au hasard certains dessins pour les regarder en détail puis je me suis résolu à tout regarder avec précision.
Une psychanalyse pourrait être faite si j'avais plus de compétences dans ce domaine, j'en tire quand même quelques conclusions, la première et que cette forme d'art est bien trop souvent oubliée quand il s'agit d'exprimer des sentiments, or comme le démontre l'auteur, c'est un bon moyen d'expiation. En second, le neuvième art n'est pas en reste niveau talents et je suis bien content d'avoir découvert ce dessinateur, encore un gros merci aux éditions Caurette pour l'envoi de ce beau livre. Et pour finir, il explore le beau, l'onirisme, la métaphore autant qu'un vers de Baudelaire a travers le dessin, une forme d'excellence selon moi, au minimum du talent.
En bonus, il m'a beaucoup inspiré pour mes propres dessins, j'y ai découvert ce que je n'arrivais pas forcément à dire ou représenter.
