Le milieu dans lequel nous vivons peut entretenir ou dissoudre nos tensions, qu'elles soient intellectuelles, musculaires ou osseuses. La première chose que j'ai apprise, en parcourant ce pays, c'est l'incidence du milieu sur notre santé.
Pour être heureux, ne cloisonnez pas. II faut libérer l'infini qui est en vous. Toute notre société est construite sur des espaces dits «de bonheur» par rapport à d'autres qui n'en sont pas. La semaine par rapport au week-end, le travail par rapport aux vacances, la vie professionnelle par rapport à la retraite... Si nous faisons les comptes, nous allons passer au mieux 15 % de notre vie à être heureux et le reste à attendre que cela arrive.
Voici un petit geste simple pour retrouver sa sérénité et se détendre lorsque l'on est stressé: passez-vous avec les 2 mains de l'eau bien froide sur le visage. Prenez la précaution de la faire couler trente secondes avant pour qu'elle devienne vraiment très froide. En 5 jets, vous ressentirez un réel bienfait.
Quand les autres deviennent hostiles de façon masquée ou visible, nous ne sommes pas seulement atteints dans notre psychisme, mais notre santé en pâtit. Mon conseil, ne laissez pas faire. Si vous ressentez que des personnes de votre entourage vous envoient des flux d'ondes négatives, fuyez si c'est possible Dites-le-leur, cela vous fera du bien. N'oubliez pas que lorsque vous n'arrivez pas à exprimer les choses, votre corps prend souvent le relais et son langage sera la maladie.
En étudiant plus de 3500 sujets de plus de 50 ans pendant 12 ans, la science a constaté que les personnes qui lisaient au moins trois heures trente par semaine, soit trente minutes par jour, diminuaient de 20% le risque de mourir prématurément, la lecture intervenant à plusieurs niveaux : entretien des fonctions intellectuelles, de la mémoire et de la santé mentale.
Une étude néerlandaise a démontré que les grands amateurs de selfies avaient peu de rapports sexuels, comme si le virtuel prenait le pas sur la réalité.
A travers ce livre, je serai toujours à vos côtés.
Une Néerlandaise morte à l’âge de 112 ans a fait don de son corps à la médecine. De façon exceptionnelle, elle n’avait pas été atteinte de cancer, d’Alzheimer ou de maladies cardiovasculaires. A l’autopsie, les médecins ont découvert la clé de l’énigme : de quoi meurent les humains si les maladies ne les ont pas éliminés. Au niveau de la moelle, il n’y avait plus que deux cellules souches. Celles-ci ont pour fonction de fabriquer de nouvelles cellules chaque jour, comme nos globules rouges, dont la durée de vie est de cent vingt jours. Nous touchons à la science-fiction : ainsi, encore jeunes, nous pourrions, à partir d’un simple prélèvement, sauvegarder nos cellules souches, sachant qu’elles se conserveraient dans l’azote liquide peut-être jusqu’à 200 ans… Une première ouverture vers l’immortalité…
Pendant ces trente minutes [d’activité physique continue et soutenue], nous libérons 1004 molécules au niveau de l’organisme, dont bon nombre comme l’irisine ont des vertus très protectrices pour nos cellules. C’est un cocktail de rêve…
Nous pouvons assimiler le jeûne séquentiel tout comme la restriction calorique à un stress modéré que l’on provoque. Ce stress bénéfique permet au corps de se réparer et de renforcer son ADN pour résister aux épreuves du temps. C’est une façon de reprogramme le métabolisme. La baisse d’énergie fournie aux cellules freine le vieillissement et augmente la durée de la vie.