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Critique de saphoo
Un livre culte certain cherche encore pourquoi, d'autre comme moi, se contente de lire et d'apprécier le récit en tenant compte du contexte et de l'époque. Il est vrai qu'il est assez à côté de la marge pour sa décennie.
Le langage qui se veut d'un adolescent américain, peut peser à la longue , mais ma fois il fait partie du lot. le personnage joue au rebelle mais moi j.ai vu qu'un gamin qui se cherche, dont l'établissement scolaire lui sort par les yeux et cette immense douleur qu'il porte. Derrière cette cavale, cette fuite on ressent ce besoin de retrouver ce frère qu'il a perdu et aussi cet autre grand frère qui est parti à Hollywood. Une façon de combler ce vide... Une très grande sensibilité ressort de ce personnage ne sachant pas sur quel pied danser, allant ici puis non ailleurs. Pour rejoindre au final, sa petite soeur en catimini.
C'est ce côté paumé qui m'a touchée et la façon qu'il a d'évoquer ce jeune frère disparu, au delà du texte, que peut on savoir ce que l.auteur à lui même vécu comme drame.
Je pense qu'il faut lire le texte ou plutôt ressentir le récit comme un écho. Creuser au delà des mots et admirer l.ampleur de la douleur et du mal être ce jeune gamin, loin de nos français des années 50 encore bourrés de préjugés et coincés. Certes à cette époque il n'était pas bon ton de publier des romans au franc parler surtout quand le protagoniste est encore un gamin.
Un livre qui n'a pas été accueilli comme il se doit, trop en avance sur son temps. Maintenant il devient un classique américain qui peut faire sourire nos propres gamins.
J'ai apprécié aussi les enchaînements des actions, pas un souffle de répit ni d'ennui, on chemine dans New York en train, métro, taxi à pieds, bref un mini road trip. Intéressant de vivre à l'heure New yorkaise en 1950 by night pour une grande partie.
En résumé, je suis bien contente d'avoir lu ce roman culte ou pas, il mérite d'être lu.
Le langage qui se veut d'un adolescent américain, peut peser à la longue , mais ma fois il fait partie du lot. le personnage joue au rebelle mais moi j.ai vu qu'un gamin qui se cherche, dont l'établissement scolaire lui sort par les yeux et cette immense douleur qu'il porte. Derrière cette cavale, cette fuite on ressent ce besoin de retrouver ce frère qu'il a perdu et aussi cet autre grand frère qui est parti à Hollywood. Une façon de combler ce vide... Une très grande sensibilité ressort de ce personnage ne sachant pas sur quel pied danser, allant ici puis non ailleurs. Pour rejoindre au final, sa petite soeur en catimini.
C'est ce côté paumé qui m'a touchée et la façon qu'il a d'évoquer ce jeune frère disparu, au delà du texte, que peut on savoir ce que l.auteur à lui même vécu comme drame.
Je pense qu'il faut lire le texte ou plutôt ressentir le récit comme un écho. Creuser au delà des mots et admirer l.ampleur de la douleur et du mal être ce jeune gamin, loin de nos français des années 50 encore bourrés de préjugés et coincés. Certes à cette époque il n'était pas bon ton de publier des romans au franc parler surtout quand le protagoniste est encore un gamin.
Un livre qui n'a pas été accueilli comme il se doit, trop en avance sur son temps. Maintenant il devient un classique américain qui peut faire sourire nos propres gamins.
J'ai apprécié aussi les enchaînements des actions, pas un souffle de répit ni d'ennui, on chemine dans New York en train, métro, taxi à pieds, bref un mini road trip. Intéressant de vivre à l'heure New yorkaise en 1950 by night pour une grande partie.
En résumé, je suis bien contente d'avoir lu ce roman culte ou pas, il mérite d'être lu.
