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Critique de MaggyM
Brandon Sanderson nous livre ici son plus grand secret: il n'est pas celui que tous croient connaître. Son vrai nom: Alcatraz Smedry. Son talent: il peut tout casser. Son passé: Il a usé plus d'une vingtaine de familles d'accueil. Son jour de chance: le jour de ses treize ans, son papi est venu le chercher. Leur mission: combattre les infâmes bibliothécaires qui dominent notre monde, le Chutland.
Qu'est-ce que j'ai aimé ce premier tome d'une série jeunesse complètement déjantée ! L'auteur joue le jeu de l'autobiographie jusqu'au bout du bout.
Il entrecoupe son récit d'interpellations directes du lecteur qu'il entraine avec lui dans les entrailles d'une grande bibliothèque qui grouille de bibliothécaires chelous et... de dinosaures. C'est drôle, c'est pétillant, c'est trépidant, c'est inventif, c'est sacrément bien raconté et on en redemande pour la suite.
Le monde de Brandon Sanderson foisonne et plaira aux ados mais aussi à leurs parents. D'ailleurs, certains éléments sont bien là pour les adultes en utilisant des références qui échapperont sans doute à leur progéniture comme cette scène délirante où les dinosaures décident de faire un sort aux bouquins d'auteurs commençant par C, rapport à un certain Monde Perdu qui ne leur a pas plu.
Mon seul regret est que ce roman se lit très vite puisqu'une fois qu'on y est plongé on trouve à peu près n'importe quel prétexte pour ne pas en sortir et que maintenant, il faut que je trouve le tome suivant.
Qu'est-ce que j'ai aimé ce premier tome d'une série jeunesse complètement déjantée ! L'auteur joue le jeu de l'autobiographie jusqu'au bout du bout.
Il entrecoupe son récit d'interpellations directes du lecteur qu'il entraine avec lui dans les entrailles d'une grande bibliothèque qui grouille de bibliothécaires chelous et... de dinosaures. C'est drôle, c'est pétillant, c'est trépidant, c'est inventif, c'est sacrément bien raconté et on en redemande pour la suite.
Le monde de Brandon Sanderson foisonne et plaira aux ados mais aussi à leurs parents. D'ailleurs, certains éléments sont bien là pour les adultes en utilisant des références qui échapperont sans doute à leur progéniture comme cette scène délirante où les dinosaures décident de faire un sort aux bouquins d'auteurs commençant par C, rapport à un certain Monde Perdu qui ne leur a pas plu.
Mon seul regret est que ce roman se lit très vite puisqu'une fois qu'on y est plongé on trouve à peu près n'importe quel prétexte pour ne pas en sortir et que maintenant, il faut que je trouve le tome suivant.
