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Citations sur L'Implacable, tome 40 : Jeux dangereux (9)

Un esprit a tous les pouvoirs. La fortune et la puissance peuvent acheter n’importe qui.
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La coutume de l’île voulait que toutes les femmes nubiles, mariées ou non, prennent part au concours de danse et les centaines avaient été réduites à ces douze finalistes. La coutume venait tout juste d’être inventée parce que c’était les premiers Jeux Olympiques de Baruba, qui venait à peine d’être accepté aux Nations-Unies.
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Pour lui, remporter une médaille d’or ne serait pas plus difficile que de traverser une rue déserte.
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Quand les gens rêvent, est-ce qu’ils savent qu’ils rêvent ? Il n’en savait rien.
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Il y avait un dicton, chez les athlètes de l’équipe olympique russe : « L’entraînement est dur mais la glace de Sibérie est encore plus dure. »
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On ne remercie pas quelqu’un d’être intelligent, Empereur. C’est parce que je suis si intelligent que je comprends ces choses et puis compatir à votre malheur.
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Quand le risque d’échouer en amour n’existait plus, la joie non plus. Et le désir, apparemment, disparaissait aussi. Jusqu’à cette jeune femme.
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Dans une arène bondée de gymnastes du sexe féminin, n’importe quelle fille avec des seins se serait fait remarquer mais celle que Remo observait aurait été remarquable en n’importe quelle compagnie. Elle n’avait guère plus de vingt ans, mesurait un mètre soixante-quatorze et pesait soixante kilos. Elle était donc plus grande et plus lourde que toutes les autres concurrentes. Et c’était la plus belle. Ses cheveux noirs seraient tombés jusqu’au creux de ses reins s’ils n’avaient été tirés en chignon, elle avait un menton carré et des pommettes saillantes. Ses lèvres étaient charnues, ses dents blanches et régulières, sa peau cuivrée, ses yeux d’un beau marron foncé très doux. Elle avait les jambes parfaites d’une gymnaste sans les vilains nœuds de muscles.
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À quarante-quatre ans, il n’avait jamais bu de vin ni connu une femme et les muscles de son estomac ressortaient sous la peau comme des pierres à demi submergées dans un ruisseau.
C’était un héros, non seulement dans son village d’Arestinos, mais dans toute la Grèce. Encore enfant, sa vie avait été consacrée à la gloire de Zeus qui, d’après la légende, avait fondé les Jeux Olympiques au cours d’une bataille contre un dieu moins grand, pour la possession de la Terre ; alors, au lieu de mener l’existence dorée d’un homme possédant des dons monnayables, Miros vivait normalement dans son village.
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