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Critique de Chocolatiine


Dans La cavale, nous retrouvons Anick, qui n'est autre qu'Albertine elle-même, que la prison a reprise. Elle pense à Zizi (Julien, qui l'avait recueillie dans L'astragale) et rêve d'évasion. Lui finit par demander au juge la permission d'épouser la jeune femme. Ils sont enfermés dans les mêmes murs, aspirent à la liberté. Font des plans de cavales.

Ce deuxième roman d'Albertine Sarrazin dépend dans tous ses états la vie en prison, l'atelier, les matonnes, la cantine, le dortoir. Pour autant, bien que cela puisse paraître, à première vue, répétitif, on ne s'y ennuie pas une seconde. La jolie prisonnière a un style réellement prenant et émouvant, où se mêlent au français quelques expressions Pied-noir que presque plus personne n'emploie et que seuls les descendant des gens de "là-bas" comprennent encore.
En somme, nous pouvons dire que j'ai apprécié ce livre-ci autant que L'astragale.

Challenge ABC 2016/2017
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