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Critique de Alyxiel
Résumé : " Pour Sascha, connaître enfin ses origines est un rêve qui vire au cauchemar, lorsqu'elle découvre la véritable identité de son père. Désespérée, la jeune femme est prête à se sacrifier pour offrir la rédemption à l'homme qu'elle aime. C'est alors qu'intervient Zekiel, guerrier aussi imprévisible que fascinant. Envoyé par son père, le sulfureux général des enfers va lui redonner goût à la vie... même si cela les mènera droit à l'Apocalypse."
Jubilatoire!
Ici Sacha accepte pleinement (non sans quelques difficultés) sa nature et son père.
L'auteur met tellement de conviction à nous expliquer que notre vision du bien et du mal est pervertie par ce que l'on sait et ce que l'on apprend dans le christianisme, qu'on se laisserai presque avoir. Pour un peu, on en viendrait presque à souhaiter l'enfer!
Sa vison est originale et je trouve qu'elle parvient bien à nous la faire partager.
Zekiel est un démon a se damner (oups, c'est déjà fait) Et Luc, alias Lucifer, nous apparaît comme un père tout simplement heureux de connaitre sa fille.
Bref on a envie d'y croire. Mais Sacha étant une fille, et une fille particulièrement perturbée, que rien n'est simple.
Elle s'entraîne dur, et maîtrise ses pouvoirs.
Pour ce qui est de l'action, l'ouverture des portes de l'enfer nous offre de belles scènes de bagarre et de sang. C'est ce qui nous tient en alerte.
Coté coeur, Raphaël cède la place à Zekiel dans le coeur de Sacha, ce qui est prévisible malheureusement dès l'apparition de celui-ci.
Les points négatifs de ce tome sont les mêmes que pour le premier : Un vocabulaire qui trempe souvent dans le vulgaire, surtout avec Zekiel qui ne s'encombre pas de chichis ni de romantisme. Bon, un peu, ça permet de donner un coté rebelle et authentique au personnage, mais comme c'est trop présent, je trouve que ça fait perdre de la valeur au livre complet.
Là encore on est submergé de clichés, surtout concernant Zékiel et son côté macho. A grand coups de citations toutes faites, on a juste l'impression que l'auteur les met bout à bout pour combler des vides. Dommage...
Jubilatoire!
Ici Sacha accepte pleinement (non sans quelques difficultés) sa nature et son père.
L'auteur met tellement de conviction à nous expliquer que notre vision du bien et du mal est pervertie par ce que l'on sait et ce que l'on apprend dans le christianisme, qu'on se laisserai presque avoir. Pour un peu, on en viendrait presque à souhaiter l'enfer!
Sa vison est originale et je trouve qu'elle parvient bien à nous la faire partager.
Zekiel est un démon a se damner (oups, c'est déjà fait) Et Luc, alias Lucifer, nous apparaît comme un père tout simplement heureux de connaitre sa fille.
Bref on a envie d'y croire. Mais Sacha étant une fille, et une fille particulièrement perturbée, que rien n'est simple.
Elle s'entraîne dur, et maîtrise ses pouvoirs.
Pour ce qui est de l'action, l'ouverture des portes de l'enfer nous offre de belles scènes de bagarre et de sang. C'est ce qui nous tient en alerte.
Coté coeur, Raphaël cède la place à Zekiel dans le coeur de Sacha, ce qui est prévisible malheureusement dès l'apparition de celui-ci.
Les points négatifs de ce tome sont les mêmes que pour le premier : Un vocabulaire qui trempe souvent dans le vulgaire, surtout avec Zekiel qui ne s'encombre pas de chichis ni de romantisme. Bon, un peu, ça permet de donner un coté rebelle et authentique au personnage, mais comme c'est trop présent, je trouve que ça fait perdre de la valeur au livre complet.
Là encore on est submergé de clichés, surtout concernant Zékiel et son côté macho. A grand coups de citations toutes faites, on a juste l'impression que l'auteur les met bout à bout pour combler des vides. Dommage...
