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Critique de dourvach


A quoi tient l'échec d'un livre ? D'abord à un malentendu... Comme le diagnostique si juste une lectrice déçue : " de plus, par moment, je me suis demandée si Vanessa Schneider voulait évoquer la vie de sa cousine Maria ou raconter sa propre histoire ? ". Ce qui déjà semble un point fort ennuyeux. Appelons ça la revanche de Narcisse... "Je croyais parler de ma soeur brisée par les autres, et me retrouve à parler autant de moi-même"... Ensuite, les paresses d'écriture, le délayage, l'écriture Jours-de-France psychologisante... D'emblée, une fois compris que : (1) Daniel Gélin n'a rien vu venir, (2) & (3) que Bernardo Bertolucci s'avère être un beau salaud et Marlon Brando un cerf vieillissant à la motte de beurre, ce livre procure un tel ennui qu'on se demande bien quelle est la fonction REELLE de ce type d'ouvrage... S'agit-il de "dénoncer "? ... Bon, d'accord, allez, ok, ça marche ! Au-delà du "Name and Shame", s'agirait-il de rendre hommage à Maria Schneider, personne humaine ? Alors, cette construction de papier et de phrases imprimées n'est sûrement pas à la hauteur de l'actrice, l'artiste, l'enfant, la soeur, la femme... Bien désolé, Vanessa Schneider, mais ne suis point parvenu à "endurer" l'ensemble de votre livre... Semblable aux pages glacées d'un magazine parcourues avant de devoir passer sur le divan de torture du chirurgien-dentiste. Pas le temps ou la patience de tout lire.... D'ailleurs on m'appelle déjà ! Ouille-ouille-ouille, ça va faire mal...
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