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EAN : 9782246861089
260 pages
Grasset (16/08/2018)
3.5/5   265 notes
Résumé :
« Tu étais libre et sauvage. D’une beauté à couper le souffle. Tu n’étais plus une enfant, pas encore une adulte quand tu enflammas la pellicule du Dernier Tango à Paris, un huis clos de sexe et de violence avec Marlon Brando.
Tu étais ma cousine. J’étais une petite fille et tu étais célèbre. Tu avais eu plusieurs vies déjà et de premières fêlures. Tu avais quitté ta mère à quinze ans pour venir vivre chez mes parents. Ce Tango marquait le début d’une grande ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (96) Voir plus Ajouter une critique
3,5

sur 265 notes
Il a suffi d'une scène du film de Bernardo Bertolucci, Le dernier tango à Paris, pour faire de Maria Schneider une jeune femme scandaleuse. Une scène qui n'était pas prévue dans le scénario original qui allait décider de toute sa vie. Une scène que l'histoire familiale de Maria, peu aimée de ses parents, a rendu insurmontable pour la jeune fille de l'époque, désormais adulée et détestée, qui va partir dans une longue dérive enchaînant drogue, alcool et internements. Plus tard, Bertolucci a fini par s'excuser (se dire coupable, mais ne rien regretter au nom de l’art), mais trop tard, Maria n'était plus de ce monde. Et d'ailleurs rien n'aurait pu effacer le mal qu'il lui avait fait avec son film.

Remarquablement racontée par sa cousine Vanessa, l'histoire de Maria Schneider est une histoire émouvante qui montre une famille excentrique incapable de sortir la jeune actrice de l'enfer. Par indifférence ou parce que ce n'était pas possible. C'est aussi l'histoire d'une époque, celle de la libération sexuelle, avec ses retours de bâton pour les femmes. Un récit édifiant qui montre à quelle point les actrices étaient, et sont, dans un monde dominé par l'argent et les hommes (le reflet de notre société patriarcale), à la merci de leur désir et de leurs fantasmes. Il suffit, s'il fallait s'en convaincre, de regarder l'affaire Weinstein qui aujourd'hui dévoile peu à peu cette réalité nauséeuse.

Elevée au rang de chevalier des Arts et Lettres par Frédéric Mitterrand, alors ministre de la culture et ami de longue date, après une vie tumultueuse et tragique Maria est honorée, ainsi que l'écrit Vanessa Schneider : « Tu étais enfin récompensée, reconnue comme une actrice qui a compté. Tu n'avais pas traversé la vie pour rien. Tu pouvais désormais la quitter. »

#TuT'appelaisMariaSchneider #NetGalleyFrance
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Je ne connaissais pas Maria Schneider, je la découvre ici doucement au fil de la plume de sa cousine Vanessa.

Maria était libre et sauvage, souvent naïve et insouciante ne connaissant rien au monde du cinéma, elle rentre à pas feutrés dans ce cercle fermé grâce à Alain Delon puis Brigitte Bardot. Sa carrière sera lancée avec le scandaleux film des années 70, le dernier tango à Paris. Profondément marquée par ce film dont une scène lui sera infligée à son insu, elle oscillera entre adulation et mépris. Sa beauté sera souvent prétexte à son talent, c'est nue qu'on la représente sur une affiche à sa mort, comme une peau sans âme ni consistance. En était-il autrement? À vrai dire, je l'ignore puisque Vanessa ne s'attarde pas sur la personnalité ou la psychologie de Maria. Elle relate sa carrière entre deux piqûres d'héroïne. Vanessa se souvient du tempéremment cyclique de Maria, des hauts et des bas, des joies exacerbées, des cris soudains.

Est-ce que je sors de cette lecture satisfaite de l'avoir côtoyé quelques heures Maria Schneider ? Pas vraiment, primo la carrière de cette actrice ne m'a pas passionnée et secundo, j'ignore toujours qui tu étais Maria. Peut-être quelqu'un de bien et d'atypique, allez savoir. Seule toi, sa cousine tu le sais ou en as une idée... Sinon Vanessa, je voulais te dire que oui tu as une belle plume, légère loin de toute exubérance et exagération mais il m'aura manqué la consistance et ce petit plus qu'on nomme sensibilité. Pas convaincue que ce roman soit une biographie, plutôt un patchwork de films et de rencontres...
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Voici un Trés beau récit porté depuis des années par Vanessa Schneider, le portrait émouvant de sa cousine Maria, actrice , fìlle de la soeur aînée de son pére.

Objet de fascination, à la fois tendre et morbide, se souvient Vanessa, alors enfant..... 20 ans les séparent .
Elle venait chercher un peu de calme dans l'appartement bohème familial .

" Tu restes ma cousine, ce bijou de famille cassé et précieux, gardé au fond d'un tiroir secret. "
" Qui est cette actrice qui semble avoir eu tant de succés et dont on ignore désormais jusqu'au nom ?
L'auteur avec une tendresse infinie, mesurée, pudique, très tenue , colére aussi, évoque la Maria de 20 ans, sa beauté à couper le souffle, ses gestes brusques, ses sautes d'humeur , son enfance pour le moins chaotique.

Mais surtout décrit gravement à l'aide de phrases justes ---prégnantes---la lente descente aux enfers de Maria, sa prostration, le choc de la sortie du film " le dernier tango à Paris" , à la fois révélée et brisée par le tournage infect , violent , un huit - clos de sexe qui l'a cassée, les attaques virulentes, les crachats dans la rue, trop de tout, " dans ta vie, trop de désirs, d'agressivité, de reproches, de tentations, trop de caresses et trop de coups " .....
Enfant Vanessa a connu , et même enduré , l'envers du décor.

Comment ne pas prendre en pitié une aînée drapée dans les vapeurs de marijuana, les bras bleuis par les injections d'héroïne , ses galères, ses souffrances, ses douleurs , son impréparation à la gloire et au scandale , ses tourments , sa fragilité , son desespoir, sa honte, ses excès , drogue , alcool, enfermement ?

Vanessa balaie d'un revers de main les idées toutes faites où l'on a voulu réduire Maria .

Elle déploie de façon intimiste un tableau plus large de sa famille , des personnages hauts en couleur,la politique , le cinéma , cet oncle Jeannot bavard , bruyant , exubérant , triomphant , noceur , contant ses aventures homosexuelles frénétiques , mort un matin dans un bar avec huit grammes d'alcool dans le sang .

" Cette famille, ma famille où la folie et le malheur ne sont jamais Trés loin ...." Ce milieu qu'elle dessine avec drôlerie et justesse, insolite, incommode, révolutionnaire, des parents écolos avant l'heure , admirateurs de Mao ....
Où l'on côtoie Brigitte Bardot, Jeanne Moreau, , Delon, Bertolucci, Gélin, Jean - Pierre Léaud , où l'on se rend à Londres, Paris, en Californie, à New- York ou au Brésil dans les années 70....


L'écriture est précise, grave, tout en retenue, expressive, juste .

Elle dit la grâce exquise de Maria, ses souffrances jamais guéries ....ses faiblesses ....

Un Trés bel ouvrage pudique et enlevé qui montre aussi l'histoire intime de Vanessa reporter et romanciére, "Parce que cette histoire a forgé la mienne, qu'elle a forgé ce que je suis ....."

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Il est des familles pour qui leurs histoires personnelles sont de véritables tragédies, des béances que rien ne peut recouvrir.
Leur reste alors, une carthasis possible, si on en a le don, c'est d'écrire, écrire son histoire, livrer les siens en pâture peut-être mais trouver une issue pour survivre, pour vivre avec ses souffrances.
C'est le cas pour Lionel Duroy, qui a réussi en publiant: le chagrin à dire l'inomable, c'est le cas aussi de Delphine de Vigan.
Dans ce roman, il s'agit de la famille Schneider. Une cousine: Vanessa Schneider écrit sur sa cousine : Maria Schneider.
Bien sûr, on comprend très vite à la lecture de ce roman qu'il ne s'agit pas que des deux cousines mais de tout ce clan Schneider marqué par la folie, une identité familiale imprécise ou rejetée qui donne à chacun l'impression de ne pas être à sa place, de ne pas savoir à quoi on appartient, à qui se référer.
Vanessa Schneider, on le sent à traversé tous ces impasses, ces non-dits, une certaine violence mais a eu plus de chance que sa cousine Maria.
Maria, elle va se jeter dans le cinéma comme on tombe à l'eau sans savoir nager. le désamour de sa mère, l'indifférence de son père naturel, la drogue et l'humiliation dans un film sulfureux feront le reste.
Ce livre m'a touché, non par l'histoire propre de Maria Schneider mais par l'histoire de cette famille globalement et le courage de certaines femmes de trouver un salut.

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Il pleut, nous sommes à Paris dans l'église Saint Roch. Alain Delon assis au 1er rang au milieu des membres de la famille lit un texte écrit par Brigitte Bardot les parrains de cinéma de Maria Schneider, partie à l'âge de 57 ans.
C'est par cette scène que Vanessa Schneider débute son récit, hommage à sa cousine, étoile éphémère du cinéma des années 70.
L'auteure revient sur la vie de la comédienne, mal aimée par sa mère qui la met à la porte alors qu'elle avait à peine 15 ans, Maria se réfugie auprès de son oncle et sa tante, les futurs parents de Vanessa.
Son père, Daniel Gélin totalement indifférent à l'éducation de sa fille, l'emmène sur les plateaux de tournage et partage ses nuits « Chez Castel ».

« Tu sors avec ton père et tu continues à l'appeler Monsieur ».

C'est grâce à Alain Delon que la jeune femme décroche ses premières apparitions sur grand écran.
Lorsque Bertolucci lui propose de partager l'affiche avec Marlon Brando, la jeune femme se prend à rêver, mais la réalité est loin d'être rose.
Maria Schneider découvre la brutalité d'un metteur en scène qui l'exploite en la faisant travailler dix heures par jour et lui impose une scène qui n'était pas prévue au scénario et qui brisa la jeune femme à jamais, la plongeant dans la dépression et la drogue.

Vanessa Schneider sait trouver les mots pour faire revivre et réhabiliter sa cousine. A travers son écriture j'ai ressenti toute la tendresse et la compassion qu'elle éprouvait pour Maria.
Outre le milieu du cinéma, l'auteure évoque la famille de Maria et les années qu'elles ont partagées avec une grande complicité malgré leur différence d'âge.
Je suis heureuse d'avoir découvert ce texte qui a su me séduire bien que je ne sois particulièrement attirée ni par le cinéma ni par la rubrique People.
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critiques presse (8)
Culturebox
24 septembre 2018
A l'heure des mouvements comme #metoo et la libération de la parole des femmes, la vie de Maria Schneider résonne de nouveau. Elle qui n'a eu de cesse de critiquer l'emprise des hommes [...] n'a jamais reçu d'oreille attentive. Sa cousine réussit en tout cas le pari de faire de nouveau résonner sa voix et ses pensées.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LePoint
18 septembre 2018
'est cette vie brisée que Vanessa Schneider reconstitue avec empathie et tristesse pour réhabiliter une cousine qu'elle aurait aimé mieux connaître. On découvrira l'amitié et la fidélité inaltérables que Brigitte Bardot portait à cette petite sœur, qu'elle aida, conseilla, hébergea comme si, au lendemain du Dernier Tango à Paris, elle avait compris que la vie de cette comédienne au talent indiscutable se terminerait tragiquement.
Lire la critique sur le site : LePoint
Actualitte
06 septembre 2018
A la fois biographie, autobiographie, mais aussi chronique des années 70, époque où un peu partout dans le monde, porté par le mouvement étudiant, on pensait que tout était possible et qu'on allait refaire le monde en levant tous les interdits, tous les tabous, Vanessa Schneider parvient à peindre un univers où les êtres humains finissent par hurler comme des bêtes sauvages.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Culturebox
03 septembre 2018
En flashes successifs, l'écrivain et journaliste Vanessa Schneider brosse un portrait émouvant de sa cousine et dissèque, en arrière plan, le noeud toxique familial qui les unit.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Liberation
03 septembre 2018
Avec «Tu t’appelais Maria Schneider», la journaliste et cousine de l’actrice nous fait entrer dans l’intimité d’une femme qui, aujourd’hui, serait sans doute une des figures de proue du mouvement #MeToo.
Lire la critique sur le site : Liberation
Bibliobs
24 août 2018
Le destin de l'actrice Maria Schneider, révélée et détruite dans «le Dernier Tango à Paris», fut une tragédie. Huit ans après sa mort, sa cousine Vanessa Schneider lui adresse une lettre bouleversante, où elle la venge du mal qu'on lui a fait.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LaPresse
23 août 2018
Sous la plume de la journaliste, on découvre une Maria fragile, complexe, vulnérable, sauvage et libre malgré tout. Un superbe texte empreint d'émotion et de lucidité qui n'essaie pas d'embellir une vie qui a cruellement manqué de beauté, justement.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Bibliobs
22 août 2018
"Cette histoire, écrit Vanessa Schneider, a forgé ce que je suis, elle m'appartient."
Elle la restitue avec une audace, une loyauté, une rage peu communes, et une empathie qui rappelle celle de son père, Michel Schneider, pour une autre grande brûlée du cinéma: Marilyn Monroe.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
Le lendemain de ta mort, « Libération » affiche en une grande photo de toi te montrant poitrine nue et offerte, bestiale, objet sexuel. Une photo tirée du « Tango ». Tu aurais détesté que l'on te rende hommage ainsi. Tu en aurais pleuré, tu te serais mise dans une rage folle, toi qui as passé toute ta vie à essayer d'effacer les marques que tu pensais infâmes. Nous n'avons pas aimé non plus cette représentation de toi. Parce qu'on ne voulait pas te voir réduite à ta chair. Parce que tu étais autre chose que ce corps exhibé. Parce qu'on ne représente pas les morts ainsi. Parce que jamais un journal n'aurait choisi pour accompagner une nécrologie l'image d'un homme dévêtu. Parce que le journal qui avait décidé de le faire n'était pas n'importe quel journal. C'était le nôtre, c'était le mien. C'était celui que mes parents achetaient quotidiennement depuis son premier numéro en 1973. Celui qui nous avait initiés, nous les enfants, à la politique et à tant d'autres choses comme le combat pour les femmes. Celui qui m'avait donné envie de devenir journaliste. Celui où j'avais travaillé pendant treize ans et où l'un de mes cousins écrivait encore. Ce n'était pas de ce côté là que l'on attendait le coup.
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Je me suis longtemps méfiée des acteurs. Ils me faisaient peur, avec leurs béances, leurs narcissisme à fleur de peau, les violences qu'ils s'infligent, la hantise de vieillir, les hauts et les bas des carrières, la casse inouïe d'un système où l'on vous porte aux nues et vous oublie aussi vite, la cruauté de vivre sans cesse dans le désir de l'autre, le réalisateur, le producteur, le spectateur. "Les acteurs sont des enfants perdus", m'a dit un jour mon amie Laure qui sait de quoi elle parle -elle avait déjà reçu un César lorsque nous nous sommes rencontrées au lycée à l'âge de dix-sept ans. Nicole Garcia, à qui l'on demandait un jour pourquoi elle était devenue actrice, avait répondu : "Pour un regard qui m'a manqué." Toi Maria, tu as manqué de tous les regards, de tous les égards, ceux de ton père absent, ceux de ta mère si mal aimante. Tu ne pouvais que devenir comédienne. Il y a quelques années, j'ai réalisé qu'un grand nombre de mes amis appartiennent à ce qu'on appelle "le monde du cinéma". Si je les ai choisis, c'est peut-être pour me rapprocher de toi et aussi parce que rien ne m'émeut davantage que les enfants perdus.
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Personne n’a écrit que tu étais partie en buvant du champagne, ta boisson favorite, la mienne aussi, celle qui fait oublier les meurtrissures de l’enfance et qui nimbe de joie les fêlures intimes des âmes trop sensibles. Tu t’en es allée au milieu des bulles et des éclats de rire, de visages aimants et de sourires pétillants. Debout, la tête haute, légèrement enivrée. Avec panache.
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Le lendemain de ta mort, Libération affiche en une une grande photo de toi te montrant poitrine nue et offerte, bestiale, objet sexuel. Une photo tirée du Tango. Tu aurais détesté que l'on te rende hommage ainsi. Tu en aurais pleuré, tu te serais mise dans une rage folle, toi qui as passé toute ta vie à essayer d'effacer les marques que tu pensais infâmes. Nous n'avons pas aimé non plus cette représentation de toi. Parce qu'on ne voulait pas te voir réduite à ta chair. Parce que tu étais autre chose que ce corps exhibé. Parce qu'on ne représente pas les morts ainsi. Parce que jamais un journal n'aurait choisi pour accompagner une nécrologie l'image d'un homme dévêtu. Parce que le journal qui avait décidé de le faire n'était pas n'importe quel journal. C'était le nôtre, c'était le mien. C'était celui que mes parents achetaient quotidiennement depuis son premier numéro en 1973. Celui qui nous avait initiés, nous les enfants, à la politique et à tant d'autres choses comme le combat pour les femmes. Celui qui m'avait donné envie de devenir journaliste. Celui où j'avais travaillé pendant treize ans et où l'un de mes cousins écrivait encore. Ce n'était pas de ce côté-là qu'on attendait le coup.
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Ils sont rares ceux qui reconnaissent craindre la folie de l’autre, avouent fuir devant les dérèglements.
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On a appris ce matin la mort de maître Georges Kiejman, grand ténor du barreau de Paris qui a traversé un demi-siècle de notre histoire contemporaine. On en parle avec Vanessa Schneider avec qui il avait publié “L'Homme qui voulait être aimé” aux éditions Grasset.
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