Style ampoulé, grandiloquent, un peu comme Roger Peyrefitte savait faire, (mais sans les statues grecques) pour ce texte où on a la désagréable et définitive impression que l'auteur s'écoute écrire des anecdotes ou détails pendant des pages et des pages, sur un ton paternaliste et sans que le lecteur ne puise avoir une once d'intérêt pour ce qui pourrait être dit en quelques phrases.
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