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Critique de nanek
Fin des années quatre-vingt, Miami.
Bobby West, agent de la CIA, sous couverture de gérant d'une société de fonds spéculatifs est en perte de sens dans sa mission. Il est focus sur ce qui devait être un soulèvement des cubains exilés aux states et un travail de l'ombre sur comment organiser la destitution de Fidel dans son ile.
La CIA de l'époque est trempée dans du blanchiment d'argent, trafic de drogue et autres réjouissance en tout genre...
Cette révolution cubaine tarde et bat de l'aile. Bobby veut assurer ses arrières et pense se la jouer solo. Pourquoi, ne profiterait-il pas lui aussi du ruissellement facile d'argent qui inonde Miami ?
La chaleur torride de Floride fait dévisser la pensée. D'autant que son environnement familial, divorce récent et Holly sa fille unique avec qui il ne communique plus, ne fait plus illusion.
L'occasion fait le larron lorsqu'un caïd de Miami, Mr French, l'approche pour gérer et légaliser des sommes de dollars énormes provenant d'une filière nouvelle d'héroïne afghane se déversant sur les Etats-Unis.
Keith, lui est un jeune de Caroline du Sud, désoeuvré et en questionnement sur ses valeurs de vie débarquant dans cette flambeuse Miami. La recherche d'argent par le travail se propose facilement dans le commerce juteux de la drogue.
La connexion est faite entre Keith et Holly, Bobby et French.
Ajouter à ça une mercenaire free-lance, un ex flic reconvertit en privé chargé d'enquêter sur la disparition d'Holly par son père et sa mère.
C'est parti pour déraper.
Récit entre action et états d'âme des différents protagonistes. Chouette photographie de ce monde des eighties où l'impunité financière, la corruption d'état et policière, l'ambivalence conservatrice d'un pays aux abois et la violence comme leitmotiv règnent dans la rue, le cercle familial ou professionnel.
Merci aux éditions Equinox et à Babelio pour cette nouvelle masse critique mauvais genre.
Bobby West, agent de la CIA, sous couverture de gérant d'une société de fonds spéculatifs est en perte de sens dans sa mission. Il est focus sur ce qui devait être un soulèvement des cubains exilés aux states et un travail de l'ombre sur comment organiser la destitution de Fidel dans son ile.
La CIA de l'époque est trempée dans du blanchiment d'argent, trafic de drogue et autres réjouissance en tout genre...
Cette révolution cubaine tarde et bat de l'aile. Bobby veut assurer ses arrières et pense se la jouer solo. Pourquoi, ne profiterait-il pas lui aussi du ruissellement facile d'argent qui inonde Miami ?
La chaleur torride de Floride fait dévisser la pensée. D'autant que son environnement familial, divorce récent et Holly sa fille unique avec qui il ne communique plus, ne fait plus illusion.
L'occasion fait le larron lorsqu'un caïd de Miami, Mr French, l'approche pour gérer et légaliser des sommes de dollars énormes provenant d'une filière nouvelle d'héroïne afghane se déversant sur les Etats-Unis.
Keith, lui est un jeune de Caroline du Sud, désoeuvré et en questionnement sur ses valeurs de vie débarquant dans cette flambeuse Miami. La recherche d'argent par le travail se propose facilement dans le commerce juteux de la drogue.
La connexion est faite entre Keith et Holly, Bobby et French.
Ajouter à ça une mercenaire free-lance, un ex flic reconvertit en privé chargé d'enquêter sur la disparition d'Holly par son père et sa mère.
C'est parti pour déraper.
Récit entre action et états d'âme des différents protagonistes. Chouette photographie de ce monde des eighties où l'impunité financière, la corruption d'état et policière, l'ambivalence conservatrice d'un pays aux abois et la violence comme leitmotiv règnent dans la rue, le cercle familial ou professionnel.
Merci aux éditions Equinox et à Babelio pour cette nouvelle masse critique mauvais genre.
