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Il se passe des drôles de choses en Finlande : 2 célébrités du net finlandais disparaissent et le corps d'une prostituée ukrainienne est trouvé sur une plage en plein hiver.
Ont disparu : Lisa Yamamoto, 25 ans et d'origine japonaise, une blogueuse qui compte plus de 200.000 abonnés et Jason Nervander, d'origine laponne et également actif sur le net.
Ses papiers indiquent que la jeune femme sur la plage s'appelle Olga Belousova, qu'elle est originaire d'Odessa et qu'elle a 22 ans.
Ce qui est étrange c'est qu'elle se soit noyée et que quelqu'un a dû essayer de la réanimer, mais lui a brisé des côtes.
Assez de questions à élucider pour l'équipe de la brigade des crimes violents d'Helsinki et pour leur gâcher leurs vacances de Noël et de fin d'année.
C'est la capitaine Jessica Niemi, 34 ans et surnommée "Miss Wikipédia" pour sa fabuleuse connaissance des dossiers, qui est chargée de l'enquête policière, assisté du fidèle Jusuf Pepple d'origine éthiopienne qui garde toujours le mot pour rire et Rasmus Susikoski, un juriste et magicien de l'informatique.
La tâche des inspecteurs se complique dès le départ à cause de la nomination d'Helena Lappi, surnommée "Hellu" par ses ennemies, comme commissaire de leur division. Une femme déplaisante qui rêve de devenir directeur et qui est jalouse de Jessica.
Lappi remplace le commissaire Erne, avec qui Jessica formait une équipe de tonnerre, mais qui est mort dans un épisode précédent et dont les lecteurs de "Chasseurs de sorcières" se souviendront sûrement.
Je tiens à signaler en passant qu'il ne faut pas avoir lu ce roman-là pour apprécier le deuxième de Max Seeck dans cette collection.
Malgré ses 477 pages, je dois reconnaître que "La toile du diable" m'a captivé pendant quelques bonnes heures de lecture, surtout grâce à la multitude de thèmes abordés, telles les actions épouvantables d'organisations mafieuses, la pédophilie, certains excès des réseaux sociaux sur le net ... ainsi que par le développement de l'enquête et l'évolution des personnages principaux.
Max Seeck, né en 1985 à Helsinki, est clairement un auteur de notre temps. Chez lui il est question de "high tech" informatique, de bagnoles hybrides, de musique pop récente, de marques bling- bling etc. qui contribuent à son prestige d'auteur "star du polar finlandais".
Critique de kielosa
Il se passe des drôles de choses en Finlande : 2 célébrités du net finlandais disparaissent et le corps d'une prostituée ukrainienne est trouvé sur une plage en plein hiver.
Ont disparu : Lisa Yamamoto, 25 ans et d'origine japonaise, une blogueuse qui compte plus de 200.000 abonnés et Jason Nervander, d'origine laponne et également actif sur le net.
Ses papiers indiquent que la jeune femme sur la plage s'appelle Olga Belousova, qu'elle est originaire d'Odessa et qu'elle a 22 ans.
Ce qui est étrange c'est qu'elle se soit noyée et que quelqu'un a dû essayer de la réanimer, mais lui a brisé des côtes.
Assez de questions à élucider pour l'équipe de la brigade des crimes violents d'Helsinki et pour leur gâcher leurs vacances de Noël et de fin d'année.
C'est la capitaine Jessica Niemi, 34 ans et surnommée "Miss Wikipédia" pour sa fabuleuse connaissance des dossiers, qui est chargée de l'enquête policière, assisté du fidèle Jusuf Pepple d'origine éthiopienne qui garde toujours le mot pour rire et Rasmus Susikoski, un juriste et magicien de l'informatique.
La tâche des inspecteurs se complique dès le départ à cause de la nomination d'Helena Lappi, surnommée "Hellu" par ses ennemies, comme commissaire de leur division. Une femme déplaisante qui rêve de devenir directeur et qui est jalouse de Jessica.
Lappi remplace le commissaire Erne, avec qui Jessica formait une équipe de tonnerre, mais qui est mort dans un épisode précédent et dont les lecteurs de "Chasseurs de sorcières" se souviendront sûrement.
Je tiens à signaler en passant qu'il ne faut pas avoir lu ce roman-là pour apprécier le deuxième de Max Seeck dans cette collection.
Malgré ses 477 pages, je dois reconnaître que "La toile du diable" m'a captivé pendant quelques bonnes heures de lecture, surtout grâce à la multitude de thèmes abordés, telles les actions épouvantables d'organisations mafieuses, la pédophilie, certains excès des réseaux sociaux sur le net ... ainsi que par le développement de l'enquête et l'évolution des personnages principaux.
Max Seeck, né en 1985 à Helsinki, est clairement un auteur de notre temps. Chez lui il est question de "high tech" informatique, de bagnoles hybrides, de musique pop récente, de marques bling- bling etc. qui contribuent à son prestige d'auteur "star du polar finlandais".
