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Critique de diamelee
Contrairement à ce que pensent certaines personnes, l'Afrique a une histoire. L'Afrique EST l'histoire car tout a commencé sur ses terres. L'empire du Mali a marqué de nombreux pays et continents. A cette époque, la religion était l'animisme. Avec un commerce florissant, cet empire a intéressé de nombreux pays (Royaumes), du Maghreb et d'Occident. Surtout pour son or, pour la grandeur de son organisation et pour sa population qui était vendue comme esclaves par les arabo berbères, bien avant les Européens. de plus, cet empire a eu de grands souverains. Les griots sont la mémoire historique de l'Afrique. Cependant, nous vivons dans une époque où la mémoire doit être écrite. C'est ce que fait l'auteure : laisser une mémoire écrite. Surtout, raconter l'histoire de ce continent aux enfants et aux adultes qui souhaitent s'informer sur ce sujet.
Avec une grande simplicité et beaucoup de connaissances, de précision, l'auteure nous embarque dans un grand empire parmi d'autres: celui du Mali. Dès que l'on énonce son nom, en Afrique, le premier nom de souverain qui s'impose est celui de Soundiata Keïta, fils de Sogolon, la bossue. Puis Aboubakari II qui découvrit l'Amérique deux siècles avant un certain Christophe Colomb. Et Kankan Moussa, le Grand Bâtisseur. Ainsi que cela se passait à cette époque, les femmes avaient leur place, malgré leur position discrète en société. Telle la reine Kassa, femme adulée par le peuple et par son époux. Les édits et les lois étaient édictés en son nom et en celui de son empereur d'époux. C'était une femme très proche de son peuple, très aimée de lui et très respectée. Elle fut à l'origine d'une sorte de vaudeville à l'africaine. Que s'était-il passé ? Qu'avait elle fait ?
L'auteure met toujours en avant, dans ses écrits, la place de la femme africaine dans l'histoire de son continent. Ce livre est le second qu'elle a écrit (Cf. Ndaté Yalla Mbodj). La femme africaine est une femme qui a contribué à l'éclat de cette terre, à travers l'histoire. Bien longtemps avant les suffragettes, les femmes africaines avaient des droits respectés par tous : par exemple, La Grande Royale dans « l'aventure ambiguë » de Cheikh Hamidou Kane dont les paroles étaient écoutées avec respect, même par les plus grands. Elles contribuaient discrètement à l'évolution de leur continent. Ces femmes participèrent à l'aura des Royaumes et des Empires où elles vivaient. La reine Kassa, tout naturellement, participa aussi à sa manière, à l'essor de l'Empire du Mali. C'était une femme qui jouissait de l'écoute de son époux, comme tant d'autres.
Avec une grande simplicité et beaucoup de connaissances, de précision, l'auteure nous embarque dans un grand empire parmi d'autres: celui du Mali. Dès que l'on énonce son nom, en Afrique, le premier nom de souverain qui s'impose est celui de Soundiata Keïta, fils de Sogolon, la bossue. Puis Aboubakari II qui découvrit l'Amérique deux siècles avant un certain Christophe Colomb. Et Kankan Moussa, le Grand Bâtisseur. Ainsi que cela se passait à cette époque, les femmes avaient leur place, malgré leur position discrète en société. Telle la reine Kassa, femme adulée par le peuple et par son époux. Les édits et les lois étaient édictés en son nom et en celui de son empereur d'époux. C'était une femme très proche de son peuple, très aimée de lui et très respectée. Elle fut à l'origine d'une sorte de vaudeville à l'africaine. Que s'était-il passé ? Qu'avait elle fait ?
L'auteure met toujours en avant, dans ses écrits, la place de la femme africaine dans l'histoire de son continent. Ce livre est le second qu'elle a écrit (Cf. Ndaté Yalla Mbodj). La femme africaine est une femme qui a contribué à l'éclat de cette terre, à travers l'histoire. Bien longtemps avant les suffragettes, les femmes africaines avaient des droits respectés par tous : par exemple, La Grande Royale dans « l'aventure ambiguë » de Cheikh Hamidou Kane dont les paroles étaient écoutées avec respect, même par les plus grands. Elles contribuaient discrètement à l'évolution de leur continent. Ces femmes participèrent à l'aura des Royaumes et des Empires où elles vivaient. La reine Kassa, tout naturellement, participa aussi à sa manière, à l'essor de l'Empire du Mali. C'était une femme qui jouissait de l'écoute de son époux, comme tant d'autres.
