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Critique de Marie1Q84
Dans cette grisaille et la fatigue accumulée j'avais besoin de la délicatesse d'Aki Shimazaki. J'aime son écriture épurée, ses silences qui racontent ce qui ne peut se dire.
J'ai donc choisi de relire sa troisième pentalogie « L'ombre du charbon ».
Ce cycle romanesque se construit autour de Tarô, enfant sourd et muet et de sa mère Mitsuko, libraire le jour, entraîneuse érudite le vendredi soir. Elle porte en elle un secret inavouable. Mais, en femme libre, elle mène la vie qu'elle a choisie.
Autour d'eux, les personnes périphériques se découvrent et tendent vers leurs désirs profonds.
Les faux semblants tombent, les non-dits se révèlent. La vraie nature de chacun prend toute sa place dans la grâce de l'écriture d'Aki Shimazaki.
Une couverture, un végétal, un animal : je vous laisse découvrir dans la lecture le lien avec le personnage central du livre.
Azami : Mitsuko vient bouleverser le quotidien de Mitsuo. Enfants, ils étaient dans la même classe. Un soir, il la croise dans un bar.
Hôzuki : C'est le tome dédié à l'envoûtante Mitsuko. ♥
Suisen : le destin de l'arrogant Gorô. Il était en classe avec Mitsuo et Mitsuko.
Fuki-no-to : Poésie et grâce pour découvrir Atsuko, l'épouse de Mitsuo. ♥
maïmaï : Tarô adulte face aux silences et au secret de sa mère.
Ce que j'apprécie vraiment chez Aki Shimazaki, c'est le décor atemporel qu'elle dresse. le temps ralentit. On savoure les bonheurs simples. On regarde la pluie tomber. Les traditions ancestrales ancrent ses personnages.
Et, elle sème les cailloux de son intrigue. Patiemment, elle nous la révèle.
Dans quelques jours sort Urushi, le dernier tome de son dernier cycle « Une clochette sans battant ». Il est déjà précommandé.
J'ai donc choisi de relire sa troisième pentalogie « L'ombre du charbon ».
Ce cycle romanesque se construit autour de Tarô, enfant sourd et muet et de sa mère Mitsuko, libraire le jour, entraîneuse érudite le vendredi soir. Elle porte en elle un secret inavouable. Mais, en femme libre, elle mène la vie qu'elle a choisie.
Autour d'eux, les personnes périphériques se découvrent et tendent vers leurs désirs profonds.
Les faux semblants tombent, les non-dits se révèlent. La vraie nature de chacun prend toute sa place dans la grâce de l'écriture d'Aki Shimazaki.
Une couverture, un végétal, un animal : je vous laisse découvrir dans la lecture le lien avec le personnage central du livre.
Azami : Mitsuko vient bouleverser le quotidien de Mitsuo. Enfants, ils étaient dans la même classe. Un soir, il la croise dans un bar.
Hôzuki : C'est le tome dédié à l'envoûtante Mitsuko. ♥
Suisen : le destin de l'arrogant Gorô. Il était en classe avec Mitsuo et Mitsuko.
Fuki-no-to : Poésie et grâce pour découvrir Atsuko, l'épouse de Mitsuo. ♥
maïmaï : Tarô adulte face aux silences et au secret de sa mère.
Ce que j'apprécie vraiment chez Aki Shimazaki, c'est le décor atemporel qu'elle dresse. le temps ralentit. On savoure les bonheurs simples. On regarde la pluie tomber. Les traditions ancestrales ancrent ses personnages.
Et, elle sème les cailloux de son intrigue. Patiemment, elle nous la révèle.
Dans quelques jours sort Urushi, le dernier tome de son dernier cycle « Une clochette sans battant ». Il est déjà précommandé.
