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Critique de HundredDreams
Symbole d'amour, les Hamaguri sont des palourdes japonaises constituées de deux coquilles parfaitement identiques. A l'âge de quatre ans, Yukiko offre à Yukio un Hamaguri où sont inscrits dans le creux de chaque coquille leurs deux noms. Gage d'amour, ils se promettent l'un à l'autre.
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Après les bouleversantes confessions de Yukiko au seuil de sa vie dans le premier tome « Tsubaki », ce deuxième opus, est plus intimiste. Emprunt de tristesse et de mélancolie, il revient sur les souvenirs d'enfance de Yukio. Maintenant adulte et marié à une autre femme, Yukio émeut par ses confidences sur son enfance difficile. On revit presque les mêmes événements, mais du point de vue de Yukio, donnant une autre vision de ce qui s'est passé. La seconde guerre mondiale, la bombe atomique de Nagasaki et ses répercussions, passent au second plan dans ce tome-ci, de même que l'adultère de ses parents.
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Son père ne l'ayant pas reconnu, cet enfant illégitime subit le harcèlement et les moqueries de ses camarades. Avec beaucoup de pudeur, il nous parle de sa relation fusionnelle avec sa mère, de sa solitude, de ce père de substitution, aimant et sincère, et de sa rencontre avec Yukiko. Lorsque Yukiko se détournera de lui sans qu'il n'en comprenne les raisons, il restera secrètement amoureux de cette jeune fille singulière qui, un jour, lui a offert un hamaguri, signe de son amour.
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Hamaguri permet de tisser des liens entre les personnages. Tout s'imbrique à la perfection et tout se dévoile petit à petit. J'ai aimé en apprendre davantage sur Yukio.
Aki Shimazaki possède le don de révéler l'essentiel en quelques mots bien choisis. Avec force, simplicité et poésie, l'auteure révèle les drames intimes et touche par son écriture. J'ai beaucoup aimé ce petit roman, et il me tarde de découvrir le tome 3.
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Après les bouleversantes confessions de Yukiko au seuil de sa vie dans le premier tome « Tsubaki », ce deuxième opus, est plus intimiste. Emprunt de tristesse et de mélancolie, il revient sur les souvenirs d'enfance de Yukio. Maintenant adulte et marié à une autre femme, Yukio émeut par ses confidences sur son enfance difficile. On revit presque les mêmes événements, mais du point de vue de Yukio, donnant une autre vision de ce qui s'est passé. La seconde guerre mondiale, la bombe atomique de Nagasaki et ses répercussions, passent au second plan dans ce tome-ci, de même que l'adultère de ses parents.
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Son père ne l'ayant pas reconnu, cet enfant illégitime subit le harcèlement et les moqueries de ses camarades. Avec beaucoup de pudeur, il nous parle de sa relation fusionnelle avec sa mère, de sa solitude, de ce père de substitution, aimant et sincère, et de sa rencontre avec Yukiko. Lorsque Yukiko se détournera de lui sans qu'il n'en comprenne les raisons, il restera secrètement amoureux de cette jeune fille singulière qui, un jour, lui a offert un hamaguri, signe de son amour.
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Hamaguri permet de tisser des liens entre les personnages. Tout s'imbrique à la perfection et tout se dévoile petit à petit. J'ai aimé en apprendre davantage sur Yukio.
Aki Shimazaki possède le don de révéler l'essentiel en quelques mots bien choisis. Avec force, simplicité et poésie, l'auteure révèle les drames intimes et touche par son écriture. J'ai beaucoup aimé ce petit roman, et il me tarde de découvrir le tome 3.
