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Critique de cookie31
Ayant déjà lu les 2 cycles précédents, la forme de ces romans ne m'a pas surprise : chaque roman a un personnage principal que l'on retrouve comme personnage secondaire dans un autre roman du même cycle. Les 5 courts romans ne forment donc qu'un seul grand roman, une grande histoire dans laquelle tous les personnages ont leur importance, et sont mis en lumière les uns après les autres. Il y a donc un fil conducteur qui relie chacun des personnages, et lorsqu'on finit un roman, on a tout de suite envie de lire le suivant, puis le suivant, jusqu'à ce qu'on arrive à « boucler la boucle ». Beaucoup de symboles sont disséminés dans les romans, que l'on retrouve au fur et à mesure de la lecture et qui permettent soit d'éclairer certaines situations, soit apporter un peu de poésie au récit.
Je ne vais pas résumer les cinq livres, dans lesquels il est juste question de la vie, du couple, des enfants, de sexualité. Aki Shimazaki décrit la complexité des relations entre hommes et femmes comme personne, mais le fait tout en retenue, dans une forme de discrétion toute japonaise. C'est vraiment très intéressant de lire cette écriture simple, dont les histoires se situent dans une société japonaise dont les coutumes et la façon de vivre semblent loin des nôtres, mais dont les rapports humains sont finalement partout les mêmes.
C'est, comme les autres cycles, écrit avec une grande sensibilité, beaucoup de pudeur, de poésie et de simplicité, même si les histoires sont parfois dures et abruptes.
Ces romans font voyager et nous font découvrir un pays, le Japon, que l'on connaît finalement assez peu. Tous les termes en japonais sont traduits à la fin des livres, on apprend beaucoup de cette société japonaise dont on sent qu'elle est en train de changer, mêlant traditions ancestrales et grande modernité. On ne boude pas son plaisir non plus dès qu'on lit les passages où les personnages mangent les plats typiques, cela donne furieusement envie de manger japonais !
J'ai donc beaucoup aimé ce cycle, même si à la lecture du premier roman j'ai d'abord été un peu déçue que l'on retrouve toujours la même forme que celle des deux cycles précédents. Je me suis finalement laissée emporter par l'histoire, et je ne regrette pas cette lecture.
Je ne vais pas résumer les cinq livres, dans lesquels il est juste question de la vie, du couple, des enfants, de sexualité. Aki Shimazaki décrit la complexité des relations entre hommes et femmes comme personne, mais le fait tout en retenue, dans une forme de discrétion toute japonaise. C'est vraiment très intéressant de lire cette écriture simple, dont les histoires se situent dans une société japonaise dont les coutumes et la façon de vivre semblent loin des nôtres, mais dont les rapports humains sont finalement partout les mêmes.
C'est, comme les autres cycles, écrit avec une grande sensibilité, beaucoup de pudeur, de poésie et de simplicité, même si les histoires sont parfois dures et abruptes.
Ces romans font voyager et nous font découvrir un pays, le Japon, que l'on connaît finalement assez peu. Tous les termes en japonais sont traduits à la fin des livres, on apprend beaucoup de cette société japonaise dont on sent qu'elle est en train de changer, mêlant traditions ancestrales et grande modernité. On ne boude pas son plaisir non plus dès qu'on lit les passages où les personnages mangent les plats typiques, cela donne furieusement envie de manger japonais !
J'ai donc beaucoup aimé ce cycle, même si à la lecture du premier roman j'ai d'abord été un peu déçue que l'on retrouve toujours la même forme que celle des deux cycles précédents. Je me suis finalement laissée emporter par l'histoire, et je ne regrette pas cette lecture.
