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Critique de lectiole


Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris au premier volume de la nouvelle série des éditions @akatamanga , "comme un adieu". J'avais lu le résumé : Yuhki, chauffeur de bus, vit en couple avec un acteur, Kanade qui, un matin au réveil, est redevenu un enfant. Sur ces entrefaites, le frère de Yuhki, Yûta, débarque chez eux. Cette situation cocasse met parfois mal à l'aise et le bandeau "pour public averti" n'est pas de trop, notamment à la fin du tome quand on en apprend plus sur l'enfance d'un des protagonistes. Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Sauf que j'ai d'abord pensé que c'était Kanade et pas Yukhi à première vue, en faisant un contre-sens, parce que d'une part Kanade et Yuhki se ressemblent (sauf la forme des yeux) à l'âge adulte et parce que d'autre part, ça aurait plus logique par rapport à l'histoire vu que ce n'est pas Yuhki qui redevient un enfant... donc j'ai relu le passage et je me suis rendu compte que j'avais été distraite et que j'avais mal lu. Mais d'un autre côté, il n'y a que Kanade sur la couverture et étant donné l'intrigue, dans l'enfance duquel est-on plongé finalement ? En tout cas, je suis d'accord avec la quatrième de couverture qui annonce une oeuvre "aussi complexe que subtile"... et à ne pas mettre entre toutes les mains parce que la crudité de certaines scènes m'aurait fait lâcher l'affaire si ça n'était pas compensé par mon envie de savoir le fin mot de l'histoire.

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