La chanson de Roland

Ce roman fut le socle de toute l'affection que je porte maintenant au genre chevaleresque . Les personnages sont tellement attachants , si prêts à mourir pour leur bon petit roi ...qu'ils' meurent tous au combat . Oui , comme dans Terra Formars. C'est ce qui manque cruellement à nos films et romans : que le personnage principal en prenne plein la poire , de temps en temps. de l'attachement et beaucoup de rire , étrangement , avec ce petit côté candide attribué au Moyen - Âge. Cette époque où la France était couverte de forêts majestueuses , ou les paysans rougeauds et moustachus collectionnaient les vaches comme des hand - spinner....de la jeune paysanne semblable à une fée et allante chercher de l'eau dans les bois ! Car dans cette geste les gestes - ô LOL jeu de mot - attribués aux personnages se répètent ... Charlemagne qui tire sa longue barbe blanche une centaine fois dans le roman , par exemple ( les rasoirs gillette Griezmann étaient une minorité ) , et surtout , la fin , la dernière phrase , celle qui me fit pousser des sanglots de rire pendant un mois . Charlemagne termine sa petite gueguerre contre le roi d'Espagne , enfin ! Sauf qu'il doit , au moment où il comptait enfin trouver le repos , aller à Jérusalem pour sauver un groupe de chrétiens...et Charlemagne gémit , en tirant sa longue barbe blanche ...😂😂