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Critique de Doralex72
Je remercie tout d'abord Babelio qui, dans le cadre de la Masse critique de la rentrée de septembre, m'a sélectionné pour chroniquer ce roman. C'est une belle opportunité.
Parlons donc de « Ret samadhi – Au-delà de la frontière ». Tout d'abord, « ret samadhi » signifie « méditation dans le sable ». Etrange titre me direz-vous ! Et vous n'aurez pas tort. Ce roman est étrange. Il est dense, les dialogue ne sont pas claires et peu explicites, le récit est entrecoupé de pensées intérieures en italiques qui peuvent dérouter…
Cette oeuvre nous conte l'histoire d'Amma, une femme de quatre-vingt ans. Mère, grand-mère, veuve, mais pas que. Si pendant tout le premier tiers du livre elle ne parle pas, les autres s'expriment pour elle, pensent pour elle, et agissent pour elle. Ses enfants pensent déjà à la suite, à l'après et à quand elle ne sera plus là. La vieille dame, elle, pense à tout autre chose : à partir de la maison où elle repose déjà telle une statue. Sans mot dire, elle part seule pour un périple qui la mènera vers le Pakistan. Son pays. Car Amma a dû le quitter au moment de la Partition de 1948 d'avec l'Inde.
Ce récit est, pour sa majeure partie, un retour aux origines, à ce qui fait les êtres au plus profond d'eux-mêmes. On parle des blessures profondes, de la grande Histoire qui touche l'intime. Amma se remémore le passé, elle le revit pour l'évacuer.
L'histoire qui nous est exposée est sensible et touchante. Cependant, et malgré le succès apparent de ce roman, je me suis ennuyée tout du long. Je ne suis pas parvenue à entrer dedans, à accrocher réellement. L'écriture m'a laissée froide, je l'ai trouvé trop alambiquée. Ce qui m'a aidé à poursuivre ma découverte est mon intérêt sincère pour l'histoire de l'Inde et de ses habitants. Sans cet intérêt, la lecture me parait difficile, voire impossible.
En somme, je ne peux ni conseiller ni déconseiller cette lecture. J'ai un avis mitigé.
Parlons donc de « Ret samadhi – Au-delà de la frontière ». Tout d'abord, « ret samadhi » signifie « méditation dans le sable ». Etrange titre me direz-vous ! Et vous n'aurez pas tort. Ce roman est étrange. Il est dense, les dialogue ne sont pas claires et peu explicites, le récit est entrecoupé de pensées intérieures en italiques qui peuvent dérouter…
Cette oeuvre nous conte l'histoire d'Amma, une femme de quatre-vingt ans. Mère, grand-mère, veuve, mais pas que. Si pendant tout le premier tiers du livre elle ne parle pas, les autres s'expriment pour elle, pensent pour elle, et agissent pour elle. Ses enfants pensent déjà à la suite, à l'après et à quand elle ne sera plus là. La vieille dame, elle, pense à tout autre chose : à partir de la maison où elle repose déjà telle une statue. Sans mot dire, elle part seule pour un périple qui la mènera vers le Pakistan. Son pays. Car Amma a dû le quitter au moment de la Partition de 1948 d'avec l'Inde.
Ce récit est, pour sa majeure partie, un retour aux origines, à ce qui fait les êtres au plus profond d'eux-mêmes. On parle des blessures profondes, de la grande Histoire qui touche l'intime. Amma se remémore le passé, elle le revit pour l'évacuer.
L'histoire qui nous est exposée est sensible et touchante. Cependant, et malgré le succès apparent de ce roman, je me suis ennuyée tout du long. Je ne suis pas parvenue à entrer dedans, à accrocher réellement. L'écriture m'a laissée froide, je l'ai trouvé trop alambiquée. Ce qui m'a aidé à poursuivre ma découverte est mon intérêt sincère pour l'histoire de l'Inde et de ses habitants. Sans cet intérêt, la lecture me parait difficile, voire impossible.
En somme, je ne peux ni conseiller ni déconseiller cette lecture. J'ai un avis mitigé.
