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Critique de Luria


J'ai toujours envié les islandais d'être les filles et fils de. en guise de nom de famille (même si seul le père est cité je crois)(et que... Si tu es de genre neutre c'est un peu la merde quand même). J'aurais aimé la même chose. En plus libre. Changeant comme la vie. Peut être avoir les deux prénoms de ses parents jusqu'à avoir l'âge de choisir, avant les papiers importants. Alors le temps d'une grande fête, un évènement initiatique, l'enfant choisirait qui du père ou de la mère il porterait le nom. Nom qui pourrait changer en cours de vie en épouse de, mère de, amie de. On a l'air fin nous, à nous trimballer les noms de lieux, métiers, ou caractères qui furent donnés à nos anciens il y a bien trop longtemps.

Bon, et sinon ? Et le livre alors ?
Pire meurtre de premier chapitre ! (et les autres aussi).
Pour mon petit coeur sensible j'ai eu des hauts et des erk. A me demander pourquoi je voulais le lire (heureusement que l'auteur s'est calmé pour le tome deuxième, j'aurais pas continué sinon).
Dans ce premier tome, comme le suivant, on sent que l'auteur est très critique envers les services sociaux de son pays. Il y a comme une catharsis. Et nous dans tout ça ? On navigue entre l'enquête et les protagonistes, déclinés des familles aux geeks solitaires en passant par les policiers hyper bosseurs (sauf leurs chefs) ou aux prisonniers optimistes. Un truc qui, une fois dans tes mains, se tourne jusqu'au petites heures de la nuit. J'ai eu un peu plus de mal par la fin qui partait pour moi un peu loin (et oui car ayant déjà oublié le whodunit du tome 2 je n'ai pas dû me spoiler grand chose).
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