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Critique de Butterflies
« ADN » est un roman scandinave captivant de bout en bout et très rondement mené. Yrsa nous offre un dénouement aussi inattendu que cohérent et c'est exactement ce que l'on cherche quand on lit un roman policier. Une très bonne intrigue et de bons personnages, qui ne s'apparentent pas à des héros mais à des gens normaux avec leurs faiblesses.
« ADN » est publié chez ACTES SUD dans la collection Actes noirs qui est célèbre pour[...] COMPLET sur https://blogapostrophe.wordpress.com/2022/04/24/adn-de-yrsa-sigurdardottir/
« Les enfants n'abandonnent jamais l'utérus chaud de leur mère sans bruit et sans cris.«
P.16
L'histoire commence sur un drame ou l'esquisse d'un drame. On ignore tout mais on devine. Trois silhouettes frêles derrière une vitre. Trois enfants liés par les liens du sang. Et de l'autre côté, des adultes chargés de choisir pour eux, de décider de leur destin. Un pouvoir important, sans retour possible, aux conséquences importantes. 1987. Comme un écho à mon autre roman islandais. Ici, les spécialistes de l'enfance ont étudié toutes les hypothèses et ont recommandé de séparer les enfants. Maintenant ils doivent choisir s'ils suivent ces recommandations. La plus jeune pourra facilement être adoptée. Il y a déjà des demandes. Les enfants s'agrippent de l'autre côté de la vitre comme s'ils devinaient le sort que l'on leur réserve. Mais leur sort est décidé. Ils vont être séparés. Ils ont vécu un traumatisme et le mieux est qu'ils grandissent séparément.
2015. Presque trente ans plus tard. Nouveau décor. Une femme. La petite fille de 1987? On l'ignore. Une mère de famille. Trois enfants. Un père en voyage. Une enfant apeurée dans la nuit. Et il... SUITE sur mon blog, en couleur, cliquez, ça ne mord pas! https://blogapostrophe.wordpress.com/2022/04/24/adn-de-yrsa-sigurdardottir/
Lien : https://blogapostrophe.wordp..
« ADN » est publié chez ACTES SUD dans la collection Actes noirs qui est célèbre pour[...] COMPLET sur https://blogapostrophe.wordpress.com/2022/04/24/adn-de-yrsa-sigurdardottir/
« Les enfants n'abandonnent jamais l'utérus chaud de leur mère sans bruit et sans cris.«
P.16
L'histoire commence sur un drame ou l'esquisse d'un drame. On ignore tout mais on devine. Trois silhouettes frêles derrière une vitre. Trois enfants liés par les liens du sang. Et de l'autre côté, des adultes chargés de choisir pour eux, de décider de leur destin. Un pouvoir important, sans retour possible, aux conséquences importantes. 1987. Comme un écho à mon autre roman islandais. Ici, les spécialistes de l'enfance ont étudié toutes les hypothèses et ont recommandé de séparer les enfants. Maintenant ils doivent choisir s'ils suivent ces recommandations. La plus jeune pourra facilement être adoptée. Il y a déjà des demandes. Les enfants s'agrippent de l'autre côté de la vitre comme s'ils devinaient le sort que l'on leur réserve. Mais leur sort est décidé. Ils vont être séparés. Ils ont vécu un traumatisme et le mieux est qu'ils grandissent séparément.
2015. Presque trente ans plus tard. Nouveau décor. Une femme. La petite fille de 1987? On l'ignore. Une mère de famille. Trois enfants. Un père en voyage. Une enfant apeurée dans la nuit. Et il... SUITE sur mon blog, en couleur, cliquez, ça ne mord pas! https://blogapostrophe.wordpress.com/2022/04/24/adn-de-yrsa-sigurdardottir/
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