AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Thaddeus


Simenon est véritablement un fin psychologue!
L'homme est une goutte d'eau dans le torrent du destin. Jean, cousin de Meurseult, semble posséder le souffle d'Azraël. Cette veuve qui porte le nom du roman est victime de l'attrait invisible et subtile de la mort. La jalousie de la veuve à un effet à la fois comique et tragique. Cette jalousie exacerbée devient maladive et pitoyable. Et Jean est un espèce de psychopathe, car le meurtre, aussi horrible soit-il, est encore plus incompréhensible sans mobile.
Commenter  J’apprécie          91



Ont apprécié cette critique (8)voir plus




{* *}