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Critique de Arlavor


Après la petite déception du troisième tome, ce tome ci est largement mieux, plus prenant.


L'enquête, sans être réellement intéressante, nous permet de retrouver le personnage de Cecily Alistair, la jeune Lady anticonformiste qu'a sauvé Enola dans le deuxième tome. Dès que l'on entend les femmes qui accompagnent Cecily, on comprend quel est le problème de la jeune fille. Seuls les personnes qui ne sauraient pas à quoi font référence ces deux femmes seront un peu plus surpris.

Si l'auteur s'était contenté de narrer la petite enquête d'Enola, j'aurais été un peu déçue, comme avec le troisième tome, mais Enola n'est pas seule à enquêter sur la disparition de Lady Cecily Alistair. Son frère, Sherlock, est également sur l'affaire et c'est ce qui fait l'intêret de l'histoire.

Car Sherlock, malgré son intelligence et son expérience, se retrouve en assez mauvaise posture et il a besoin de l'aide de sa jeune soeur. La confrontation entre Sherlock et Enola est le passage le plus intéressant du roman, surpassant, et de loin, l'enquête.

La "rencontre" entre Enola et son frère Mycroft est également très sympa, assez drôle, même si elle est très très courte.

Ce qui m'a plu, tout de même, dans l'enquête, c'est le message codé laissé par Cecily sur son éventail. Je ne connaissais pas ce code là et ça m'a beaucoup intéressé. J'ai appris quelque chose de vraiment sympa. Et j'ai aimé en découvrir encore un peu plus sur l'angleterre de l'époque, surtout sur Londres et sur la haute société.


Un quatrième tome très sympa et qui rattrape la déception du troisième.
Lien : http://lemondedarlavor.blogs..
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