Benvenuto dans
Gagner la guerre de
Jean-Philippe Jaworski est vraiment un sale type et le talent de l'auteur nous colle à lui en tant que lecteur
Ambrosio dans le moine de Lewis que l'on ne présente plus.
Fantômas tant connus dans les romans feuilletons de
Pierre Souvestre et
Marcel Allain, transportant les couleurs, les sensations et les odeurs d'une époque, de la belle époque
Dom Juan de
Molière, nous plongeant dans la volonté de défié dieu lui-même
Voilà des héros dans le camp du mal.
Mais dans
le parfum, cela n'a pas fonctionné pour moi.
Je n'ai pas pu suivre ni comprendre, ni aimer une partie de ce personnage. Je lisais le roman à corps et coeur défendant. Et j'en suis ressorti mal à l'aise.
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