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Critique de Totaro
Fini (difficilement) ce livre.
J'ai apprécié la première partie : les hommes, le groupe, la pêche, la mer, la tempête, le froid, la fatigue, la mort, le drame. L'auteur sait trouver les mots pour décrire mais plus, nous faire vivre cette aventure se passant au tout début du siècle dernier dans un pays au fin fond du monde.
La deuxième partie est la fin de l'initiation de l'ami d'un matelot mort de froid. Dans son hésitation entre le suicide et la vie puis sa prise en main par deux femmes.
Les livres et les aveugles y tiennent une place symbolique.
Certaines expressions sont très poétiques : " un clou si haut perché qu'on ne peut rien accrocher à part quelques gouttes de pluie et des toiles d'araignée".
D'autres moins.
Enfin, le nombre de personnages avec des noms compliqués avec des consonnes inconnues et donc difficilement mémorisables ne rend pas aisé de se retrouver dans la deuxième partie.
J'ai apprécié la première partie : les hommes, le groupe, la pêche, la mer, la tempête, le froid, la fatigue, la mort, le drame. L'auteur sait trouver les mots pour décrire mais plus, nous faire vivre cette aventure se passant au tout début du siècle dernier dans un pays au fin fond du monde.
La deuxième partie est la fin de l'initiation de l'ami d'un matelot mort de froid. Dans son hésitation entre le suicide et la vie puis sa prise en main par deux femmes.
Les livres et les aveugles y tiennent une place symbolique.
Certaines expressions sont très poétiques : " un clou si haut perché qu'on ne peut rien accrocher à part quelques gouttes de pluie et des toiles d'araignée".
D'autres moins.
Enfin, le nombre de personnages avec des noms compliqués avec des consonnes inconnues et donc difficilement mémorisables ne rend pas aisé de se retrouver dans la deuxième partie.
