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Critique de Jimbu


Depuis que j'ai lu cette nouvelle pour la première fois il y a de ça 2 ans, j'y reviens régulièrement. Dès que je choisis une nouvelle lecture dans ma bibliothèque, ce petit livre me tend les bras à chaque fois.
De temps à autres, je cède à cette tentation (et j'y cède d'autant plus volontiers que la nouvelle en elle-même ne fait qu'une cinquantaine de pages).

C'est donc à l'issu d'une quatrième lecture que j'écris cette critique même si je suis bien en peine d'expliquer en détail ce qui m'attire autant ici mais la sagesse simple de Will, sa sérénité, notamment face à la mort, me touche et m'apaise.

Je n'ai pas trouvé de mots plus justes que ceux trouvés dans la préface écrite par Nicolas Waquet donc je les recopie ici sans vergogne :
"A travers ces mutations et ces découvertes, Stevenson nous montre qu'il est possible de cheminer humblement vers ce que nous sommes appelés à être, de savoir ce qui se trouve au fond de nous pour nous permettre de nous améliorer. L'écrivain écossais nous offre ici une très belle fable sur la fidélité et la sérénité ; une ode à l'harmonie avec soi-même, se nourrissant de l'union intime avec l'autre, avec les forces irrationnelles d'une nature à la beauté initiatique et tutélaire. Ne voyageant pas, Will reste à l'abri de la déception qui guette tout voyageur. Il peut donc vivre dans l'émerveillement renouvelé de l'enfant, rêvant dans ce cadre de montagnes à la frontière du ciel et de la terre."
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