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Critique de Phoenicia
Reçu en box, j'allais avec quelques appréhensions concernant cette lecture, ne voulant pas quelque chose de trop "new romance".
Witch and God a pour héroïne Ella, sorcière enjouée qui a la particularité de ne pas avoir de dons. Une querelle séculaire opposant les sorcières aux dieux de l'Olympe, amène cette dernière à se fiancer au petit-fils de Zeus, Deimos, un rien grincheux et surtout très arrogant, afin de rétablir la paix entre les deux communautés.
On a donc ici une romance très ennemy to lovers avec le protagoniste grumpy et l'héroïne hyper naïve. Des rôles certes, un peu cliché, mais qui installe une romance sympathique avec quelques surprises, notamment en terme de scénario. On devine sans mal que les deux protagonistes vont s'ouvrir l'un à l'autre et finir par s'attacher tout en luttant pour leurs sentiments mais il y a quelques sursauts narratifs que l'on ne voit pas venir.
Avec la narration interne, on est immédiatement dans les pensées d'Ella que l'on apprécie d'office. de même, on voit son attirance de plus en plus prononcée pour le dieu qui, si de prime abord semble être un véritable mufle, cache en fait une personnalité certes possessive mais dans le consentement. de quoi enlever tout élément toxique de cette relation.
Certains passages m'ont paru un poil mièvre et très jeune en terme de mode de pensée, ce qui crée un certain décalage avec l'idée de dieux séculaires, ayant une certaine histoire, une certaine sagesse. C'est ce qui m'a, en définitive le plus gêné. A la couverture initiale, qui présente deux corps dénudés enlacés, je craignais que l'univers mythologique ne soit qu'un prétexte pour enchaîner des scènes sexuelles. Au contraire, si scènes sexuelles il y a, elles ne prennent en aucun cas le pas sur l'univers que l'autrice prend le le temps de développer. A ce titre, j'ai l'édition avec la couverture plus épurée, l'anneau, l'ambiance automnale que je trouve personnellement bien mieux!
En définitive, malgré quelques réserves, je me suis laissée prendre par l'histoire et les pages se sont tournées seules, m'offrant une lecture agréable.
La fin de l'histoire annonce des tomes compagnons qui peuvent être intéressants pour connaître ce qui est mis en place sur les dernières pages. Je les lirai, mais sûrement en numérique. L'histoire est certes prenante mais ne reste pas un coup de coeur. de même, peut-être, à l'issue de ces trois tomes, lirais-je les trois tomes centrés sur les points de vue masculins. Celui sur Deimos, notamment, m'intrigue.
Witch and God a pour héroïne Ella, sorcière enjouée qui a la particularité de ne pas avoir de dons. Une querelle séculaire opposant les sorcières aux dieux de l'Olympe, amène cette dernière à se fiancer au petit-fils de Zeus, Deimos, un rien grincheux et surtout très arrogant, afin de rétablir la paix entre les deux communautés.
On a donc ici une romance très ennemy to lovers avec le protagoniste grumpy et l'héroïne hyper naïve. Des rôles certes, un peu cliché, mais qui installe une romance sympathique avec quelques surprises, notamment en terme de scénario. On devine sans mal que les deux protagonistes vont s'ouvrir l'un à l'autre et finir par s'attacher tout en luttant pour leurs sentiments mais il y a quelques sursauts narratifs que l'on ne voit pas venir.
Avec la narration interne, on est immédiatement dans les pensées d'Ella que l'on apprécie d'office. de même, on voit son attirance de plus en plus prononcée pour le dieu qui, si de prime abord semble être un véritable mufle, cache en fait une personnalité certes possessive mais dans le consentement. de quoi enlever tout élément toxique de cette relation.
Certains passages m'ont paru un poil mièvre et très jeune en terme de mode de pensée, ce qui crée un certain décalage avec l'idée de dieux séculaires, ayant une certaine histoire, une certaine sagesse. C'est ce qui m'a, en définitive le plus gêné. A la couverture initiale, qui présente deux corps dénudés enlacés, je craignais que l'univers mythologique ne soit qu'un prétexte pour enchaîner des scènes sexuelles. Au contraire, si scènes sexuelles il y a, elles ne prennent en aucun cas le pas sur l'univers que l'autrice prend le le temps de développer. A ce titre, j'ai l'édition avec la couverture plus épurée, l'anneau, l'ambiance automnale que je trouve personnellement bien mieux!
En définitive, malgré quelques réserves, je me suis laissée prendre par l'histoire et les pages se sont tournées seules, m'offrant une lecture agréable.
La fin de l'histoire annonce des tomes compagnons qui peuvent être intéressants pour connaître ce qui est mis en place sur les dernières pages. Je les lirai, mais sûrement en numérique. L'histoire est certes prenante mais ne reste pas un coup de coeur. de même, peut-être, à l'issue de ces trois tomes, lirais-je les trois tomes centrés sur les points de vue masculins. Celui sur Deimos, notamment, m'intrigue.
