Je suis un peu troublée par le concert de louanges qui entoure ce roman que je qualifierais de gentillet. Certes l'histoire d'Elio, jeune ténor italien prodige, possède dans sa première partie des réflexions intéressantes sur la musique d'opéra, celle de Verdi notamment, et sur ses interprètes, mais par la suite, que de lieux communs, de faits historiques vus par le petit bout de la lorgnette, de situations improbables, le tout dans un style familier particulièrement énervant. Sans aucun doute un rendez-vous manqué pour moi avec ce roman... auquel je mets trois étoiles quand même pour Verdi, à qui l'auteure rend avec ces lendemains qui chantent, malgré toutes mes restrictions, un bel hommage.
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