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4,02

sur 387 notes
Finaliste du Prix Orange du Livre 2023.

Merveilleux roman que celui d'Alexia Stresi : Des lendemains qui chantent ! En effet, j'ai été embarqué rapidement dans l'histoire d'Elio Leone parce que j'ai été vite passionné, souvent ému, parfois attristé mais régénéré par le style d'une autrice au talent déjà affirmé dans deux premiers romans.
Le livre commence en 1935, à Paris. L'Opéra-Comique, la salle Favart, est plein pour Rigoletto de Verdi. Mademoiselle Henriette Renoult qui fait autorité dans le monde de l'art lyrique, a choisi un jeune Italien pour le rôle de Borsa et voilà que cet inconnu éclipse la vedette qui joue Rigoletto !
Mon impatience, pour savoir et comprendre, va être satisfaite grâce au récit passionnant qui suit et m'emmène aussitôt près de Naples, dans le village de San Giorgio, en 1912. Alexia Stresi raconte, fait vivre un nouveau-né, Elio, et c'est beau, triste, émouvant surtout. Très addictive, cette histoire alterne entre la carrière de celui qui se nomme Elio Leone, formidable ténor de l'opéra, et l'enfance de ce même garçon.
Alors que les articles de presse, en 1935, sont plus qu'élogieux malgré une entame raciste, vite xénophobe, dans L'écho de Paris, c'est entre 1912 et 1917 que le petit garçon tente de survivre. Entre l'orphelinat et l'hôpital, à Naples, le petit Elio rencontre des personnes généreuses, attentionnées qui lui permettent de résister et surtout d'affirmer une personnalité originale. le monde, vu par le petit Elio est extraordinaire, ses réflexions savoureuses comme lorsqu'il découvre le sort des réfugiés après la déroute de Caporetto face aux troupes austro-allemandes. Il constate que les infirmières travaillant à l'hôpital sont plus utiles que le directeur…
Alexia Stresi n'oublie pas le côté politique de la vie d'Elio Leone. Il a fui son pays pour ne pas cautionner le régime fasciste arrivé au pouvoir alors qu'il pouvait en devenir le ténor officiel.
À Paris, il apprend le français, fait de petits boulots, espérant une ouverture pour, à nouveau, chanter sur une scène comme il sait si bien le faire.
En attendant, l'autrice comble les vides dans le cheminement de son héros comme son placement sur une île faisant partie de l'archipel des Pontines, à environ trente kilomètres de la côte. C'est là que sa foi en Dieu s'enracine et qu'il continue à lire et apprend l'écriture musicale.
Ce n'est vraiment qu'à Paris qu'Elio Leone s'affirme enfin sur scène en lien étroit avec mademoiselle Renoult qu'il a réussi à rencontrer. Elle a 70 ans et lui 26. le talent, c'est bien, mais l'affirmer, face au public, c'est une autre paire de manches. C'est là qu'Alexia Stresi excelle, maintenant un suspense, faisant vivre un ténor, ses angoisses, sa vie quotidienne, le travail et les précautions indispensables à prendre pour conserver, entretenir cette voix qui, au travers des opéras de Verdi, émeut tant les foules accourant au théâtre comme le Trocadéro ou le Châtelet.
Hélas, nous sommes en 1939 et l'Europe va être dévastée par la Seconde Guerre mondiale. Alors qu'il a épousé Fernande, Elio n'hésite pas à s'engager pour défendre le pays où il vit. Débute alors une vie très différente où Elio subit les pires souffrances comme tant d'autres.
Des lendemains qui chantent porte alors mal son titre mais cette histoire est passionnante, étonnante, déroutante même puisque Alexia Stresi m'emmène très loin, me surprend beaucoup et finit par prouver qu'elle a bien fait d'intituler ainsi son livre.
Parmi toutes les rencontres faites ensuite par Elio, je souligne surtout Clairvius et Eugène Vanzo. Ce dernier lui permet de réaliser son rêve à la Scala de Milan. le héros mis en scène par Alexia Stresi ne se laisse jamais griser par des succès qu'il sait éphémères. Lorsqu'il choisit d'oeuvrer bénévolement dans une prison, dans un centre de néonatalité et dans une école maternelle, l'autrice réalise une merveilleuse description des sentiments.
Va, pensiero… comme débute le fameux Choeur des Esclaves du Nabucco de Verdi, est présent jusqu'au bout. Des lendemains qui chantent est une immense réussite littéraire pour Alexia Stresi, un roman aussi passionnant qu'impressionnant, comportant bien d'autres événements et leçons de vie, donnant aussi une furieuse envie d'aller voir et écouter Rigoletto, Nabucco, La Traviata….
Des lendemains qui chantent faisait partie des cinq finalistes pour le Prix Orange du Livre 2023 et je remercie Lecteurs.com qui m'a permis de me régaler en suivant Elio Leone, un héros que je ne suis pas prêt d'oublier.

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Je suis un peu troublée par le concert de louanges qui entoure ce roman que je qualifierais de gentillet. Certes l'histoire d'Elio, jeune ténor italien prodige, possède dans sa première partie des réflexions intéressantes sur la musique d'opéra, celle de Verdi notamment, et sur ses interprètes, mais par la suite, que de lieux communs, de faits historiques vus par le petit bout de la lorgnette, de situations improbables, le tout dans un style familier particulièrement énervant. Sans aucun doute un rendez-vous manqué pour moi avec ce roman... auquel je mets trois étoiles quand même pour Verdi, à qui l'auteure rend avec ces lendemains qui chantent, malgré toutes mes restrictions, un bel hommage.
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Qui aurait parié la moindre lire sur l'avenir du petit Elio, prénommé ainsi par la matrone qui l'a mis au monde puis nourri au sein de sa mère morte ? Qui aurait imaginé le destin fulgurant de ce gosse des rues, qui passe ses journées à chercher pitance en évitant les coups ?
Il suffit parfois d'une rencontre, ici celle d'un pédiatre qui se bat pour ces gamins perdus, puis de la révélation d'un don dans une petite île au large de Naples.

L'exil est nécessaire, pour ne pas céder à la pression des fascistes et c'est à nouveau l'errance dans les rues de Paris. Jusqu'à ce que le talent éclate aux oreilles de tous. Mais la guerre fait exploser en plein vol ce trajet de lumière. Pourtant l'histoire est loin d'être terminée…

Quel bonheur de parcourir ces presque cinq cents pages, accompagnée de ces airs mythiques Nessum dorma, Una furtiva lagrima ou Libiamo ! C'est toute la magie de ces voix si bouleversantes qui ressort à travers l'évocation d'un ténor dont Alexia Stresi crée la légende. On a juste envie qu'il ait existé !

Le roman se construit autour des caprices du destin, qui se saisit d'Elio comme d'une marionnette qui n'a pas conscience des ficelles qui le manipulent. Mais à chaque fois que le sort s'acharne, la voix d'or le sortira des ténèbres.

Lu avec avidité, avec angoisse, de peur que ce héros soit perdu à jamais, et avec émotion, celle qui naît des mélodies de la bande-son et de la puissance romanesque qui porte en elle les éléments indispensables pour une adaptation cinématographique !


464 pages Flammarion 1er février 2023

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La voix d'or qui ne résonnera plus

Alexia Stresi, en imaginant la vie d'un ténor italien, réussit un formidable roman sur l'art et la destinée, sur fond de Seconde Guerre mondiale. Plein de bruit et de fureur, cette tragédie est aussi une magnifique histoire de résilience et de passion.

En ce jour de 1935 le directeur de l'opéra-comique joue sa dernière carte. En programmant Rigoletto de Verdi, il pense avoir trouvé l'opéra qui sauvera la salle Favart de la ruine. Et si effectivement le succès est au rendez-vous, c'est surtout en raison de la prestation d'un second rôle dont la voix subjugue le public et la critique.
Elio Leone, c'est son nom, naît à San Giorgio, dans la province de Naples, en 1912. Victime d'une hémorragie, sa mère meurt quelques heures après la naissance. On va dès lors suivre en parallèle l'histoire de l'orphelin en Italie et celle du ténor réfugié en France pour fuir le fascisme. Recueilli par un médecin qui a ouvert un centre d'accueil révolutionnaire prenant en compte les désirs des enfants, Elio comprend que la musique est toute sa vie. Aussi la décision est prise de l'envoyer sur l'île de Zanolla où un prêtre a créé un choeur d'enfants et où il pourra progresser.
À Paris aussi, il progresse. Réfugié sans le sou, il va croiser le directeur d'un théâtre qui va lui offrir un premier cachet avant de le remercier. Mais il a le temps de comprendre que Mademoiselle Renoult peut l'aider. Cette directrice de distribution a engagé et formé les plus grands. Désormais à la retraite, elle va tout de même prendre Elio sous son aile et, durant des années, le faire travailler. Après la salle Favart, sa carrière est lancée. «Il y aura ensuite ses trois soirées de récital, puis tout va s'emballer. Il se retrouve demandé partout. Avec un répertoire fin prêt, ne lui reste qu'à se laisser glisser dans les distributions. Chaque fois, il est celui qu'on écoute. Les salles lui font fête, son apparition au salut déclenche un tonnerre.»
Désormais, tout semble lui sourire, y compris dans sa vie sentimentale. Et malgré les menaces qui se font de plus en plus précises, il se marie. Mais sa lune de miel sera de courte durée, la Guerre est déclenchée. Lui qui avait trouvé refuge en France pour échapper à Mussolini estime de son devoir de partir combattre. À la drôle de guerre fera très vite place un conflit sanglant qui ne l'épargnera pas. Il est fait prisonnier et envoyé dans les camps, d'où il reviendra profondément marqué. Avant de constater que sa femme lui a menti durant toutes ces années. Un choc supplémentaire qui va le conduire à tout abandonner, à errer sans but.
Vous découvrirez comment il finira à Haïti et comment il parviendra à reprendre pied.
Comme dans les précédents romans d'Alexia Stresi, la quête de l'identité est au coeur de ce roman brillant et solidement documenté qui nous offre une plongée dans le monde de l'opéra et au-delà qui sonde les mystères de la voix humaine qui transporte bien plus que les paroles. On peut lire dans son timbre toutes les émotions, voire la vie de celui qui s'exprime. Comme un parfum, elle laisse derrière elle une trace unique.
Alors la romancière peut enrichir son propos de ses souvenirs d'enfance, elle qui avait des grands-parents musiciens, et laisser toute la sensualité, la beauté occuper l'espace. Alors, malgré les drames et malgré cette Seconde Guerre mondiale qui brisera ses rêves de gloire, le lion rugira encore.
Ajoutons qu'après La nuit de la tarentelle de Christiana Moreau, voici le second roman de cette rentrée à parler d'opéra, de Giuseppe Verdi et à évoquer la maison de retraite fondée par le grand musicien.


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Comment résister à la magie d'une couverture et à un roman d'Alexia Stresi ? La question ne se pose pas ..
Des lendemains qui chantent où comment expliquer l'inexplicable. Comment ce gamin, orphelin à la naissance, a-t'il pu mener son chemin entre les nourrices, l'orphelinat . Comment a -t'il compris qu'il lui fallait aller de l'avant toujours et encore, comment a t'il trouvé sa place petit à petit dans les années noires de la montée du fascisme italien, comment a t'il su et pu faire de sa voix son arme de combat?...Au fait je vous présente Elio Leone, le ténor a la voix en or .. mais la vie lui a réservé des surprises, la drôle de guerre, puis les camps de prisonniers, le retour et le coup de massue derrière la nuque.. Comment peut-on se reconstruire après avoir vécu tour cela?
Alexia Stresi une fois encore de main de maitre nous brosse le portrait d'un homme à nul autre pareil, le portrait d'un homme ballotté par les évènements, le portrait d'un homme qui croie à la force de la musique surtout à celle de Verdi.
Un roman magistral qui m'a embarquée dans un univers que je ne connais pas ou si peu , un roman où bien sûr la musique tient l'immense place mais où la fidélité, l'amour et l'amitié sont des valeurs éternelles. Magique
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La quatrième de couverture m'a donné envie de me lancer dans l'histoire de Elio Leone , jeune ténor napolitain vouant une admiration sans borne à Guiseppe Verdi.
Des lendemains qui chantent d'Alexia Stresi va nous faire découvrir Elio Stresi quand il reçoit une ovation monumentale à Paris , à l'Opéra-Comique, lors de la première de Rigoletto de Verdi.
Il n'est pas le ténor vedette , mais il va lui voler la vedette.
A l'origine de cette ovation , sa voix bien évidemment , mais aussi Mademoiselle Renoult qui le couve depuis trois ans.
Rien ne prédestinait Elio Leone à cette gloire.
Elio est né avant la Première Guerre mondiale et devint orphelin dès la naissance.
L'histoire est belle : Orphelin et l'un des plus grands ténors du siècle. Cela ressemble au feel-good et à la voie royale.
Ce ne se sera pas le cas.
La vie d'Elio Leone est plus complexe que cela.
Alexia Stresi va s'employer avec une puissance romanesque à faire vivre un certain nombre de personnages au tour d'Elio. Mademoisselle Renoult ou avant elle Guiseppe Troppeano auront été des accompagnateurs. Fernande lui signifiera ce qu'est l'amour et son corollaire : la maladie d'amour. Clairvius sorcier vaudou d'Haïti énergisera sa torpeur.
Ce n'est pas toujours égal et certains moments du roman manquent de souffle et de réalisme. ( entre autre en Haiti ou lors des retrouvailles entre Elio et Fernande )
Néanmoins les scènes de jeunesse d'Elio, sa situation pendant la guerre , ou encore ses jours à la Casa Verdi sont pleine d'émotion .
Quand à Verdi et la musique classique, ils irriguent ce roman de la Force du Destin.
En synthèse , un roman qui se lit avec plaisir malgré quelques passages manquant du peps de la musique de Verdi.
Lien : http://auxventsdesmots.fr
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Je ne peux que rajouter ma voix au concert de louanges qui a déjà salué ce roman.
J'ai aimé lire une belle histoire avec de beaux personnages, de belles rencontres.
Comment ne pas s'émouvoir sur le sort d'Elio Leone, orphelin dès sa naissance, balloté et mal aimé jusqu'à ce que sa route croise celle d'un médecin engagé dans différentes oeuvres caritatives ?
La deuxième rencontre déterminante est « Mademoiselle », dont il force quasiment la porte, bien décidé à lui confier sa carrière de jeune chanteur d'opéra.
Il va se passer bien des choses dans la vie d'Elio pour le plus grand plaisir des lecteurs.
Ce roman, représente tout ce que j'attends d'un livre : une belle écriture, une réelle beauté des mots, une histoire captivante, des personnages attachants, une intrigue bien menée, un vrai dépaysement. Bref ! ce fut un grand, très grand plaisir de lecture.

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Il y a des livres au souffle romanesque qui enchantent nos jours.
Des lendemains qui chantent est de ceux-là.
En mettant en scène avec une générosité folle et une grande puissance romanesque d'inoubliables personnages, Alexia Stresi nous raconte que ce sont les rencontres et la manière dont on les honore qui font que nos lendemains chantent et qu'on sauve sa vie.

Elio naît en 1912 dans l'étable d'une ferme de la province de Naples. Quelques heures seulement après sa naissance, c'est au sein de sa mère que tout bascule. A peine né, il devient orphelin. S'ensuivent des années placées sous le signe de l'abandon et des brimades jusqu'à ce qu'Elio croise la route d'un généreux médecin, Guiseppe Tropeano. Sans le savoir, cet homme va enchanter ses lendemains et permettre à Elio de trouver sa voix. C'est à Paris, en 1935, sur la scène de l'Opéra comique, qu'Elio deviendra un chanteur lyrique adulé. Dès lors, sa carrière semble toute tracée.
L'histoire serait certes belle, mais bien trop simple. Rajoutez des conflits internationaux qui éloignent Elio Leone de la scène, le mènent là où personne ne l'attend plus, là où il doit être, là où il aurait toujours dû être et vous obtiendrez un roman absolument enchanteur.

Des lendemains qui chantent est une histoire de rencontres, d'amour, d'abandons et surtout de musique.
Dès la toute première page, on sait que l'on va s'embarquer pour un long voyage certes parsemé d'embuches, mais surtout teinté d'humanité et d'humilité, duquel on ne peut que sortir grandi.
Un conseil, laissez-vous conquérir par Des lendemains qui (en)chantent.

Un grand merci à Babelio pour cette enchanteresse première Masse critique de l'année.
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Du début du 20ème siècle jusqu'aux années 1970, ce roman retrace la vie d'Elio Leone, chanteur d'opéra d'exception, de sa naissance à sa mort.

Elio naît en 1912 en Italie, dans un village près de Naples. Sa mère meurt peu de temps après sa naissance et on ne connaît pas son père. Il sera donc ballotté de foyer en foyer, tombant plus ou moins bien.

On alterne entre sa petite enfance, son enfance et son adolescence jusqu'à son arrivée en France. Ayant déjà été repéré pour sa voix et suivi des cours au conservatoire de Naples, il sera pris en main en France, par la très renommée professeure de chant, Melle Renoult. Travaillant dur et sans relâche, il excelle dans sa discipline et fait un tabac à chaque représentation. Mais la seconde guerre mondiale se profile et avec elle des bouleversements imprévisibles qui changeront à jamais la vie de ce ténor prodigieux.

Durant cette lecture, on est accompagné par les Pêcheurs de Perle de Bizet, Una furtiva lacrima de Donizetti, Nessum Dorma de Puccini, ou encore Libiamo La Traviata de Verdi. Verdi, compositeur particulièrement apprécié d'Elio, qui règne en maître.

Mais ce roman n'est pas qu'opéra, ce n'est pas qu'un voyage musical et dans ce 20ème siècle riche en événements, c'est également un voyage géographique, le lecteur suivant Elio en Italie, en France, en Allemagne, aux Antilles et en Haïti, notamment, où l'attendent de multiples aventures.

Un beau portrait d'un homme en quête d'identité, de sens, aux prises avec les hasards de la vie, une plongée dans l'art lyrique, et au final, un agréable moment de lecture en compagnie d'un personnage attachant et d'une musique intemporelle.
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Un roman magnifique où tous les ingrédients que j'aime sont réunis: un personnage très attachant, humble, gentil, doué que l'on suit de ses réflexions d'enfant à ses émois adultes, une histoire forte qui s'appuie sur la sublime musique de Verdi, un contexte historique fort, maitrisé par l'autrice et si bien décrit de l'intérieur et les hasards d'une vie: drames, rencontres et bonheurs, un titre fabuleusement bien choisi, une plume fluide et belle, 500 pages qui se dévorent et qui passent à une vitesse folle. Un délice de lecture. Merci Madame Stresi!
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